L'interview du 14 juillet a été l'occasion pour François Hollande d'effectuer une mise au point, après le désormais célèbre tweet de Valérie Trierweiler. "Je considère que les affaires privées se règlent en privé. Et je l'ai dit à mes proches pour qu'ils acceptent scrupuleusement ce principe", a déclaré le président de la République.
François Hollande est ainsi revenu sur l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler, qui, pendant les législatives, avait exprimé son soutien au candidat dissident Olivier Falorni à La Rochelle. "Je tournerai sept fois mon pouce maintenant avant de tweeter", a commenté dimanche la Première dame de France, une manière de promettre qu'elle se montrerait désormais plus prudente.