Interrogé sur les faits, il s'est présenté comme "otage" des tueries de son frère. Mais Abdelkader Merah, jugé pour complicité des tueries de Toulouse et Montauban, n'avait jusque-là pas eu à répondre des questions de religion et notamment de l'influence qu'il a eu sur la radicalisation de son petit frère. Après trois semaines d'audience, la matinée de vendredi était consacrée à ces débats, devant la cour d'assises spécialement composée, compétente en matière de terrorisme.
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