En Guadeloupe, l'"angoisse" face aux dégâts provoqués par l'ouragan Maria

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TLM , modifié à
Dans la nuit de lundi à mardi, l'ouragan Maria a frappé la Guadeloupe avec une intensité maximale, occasionnant de nombreux dégâts sur son passage.

Angoisse, prudence, confinement. Mardi, les Guadeloupéens ont vu l'ouragan Maria s'abattre sur eux avec une puissance inédite, d'une intensité maximale de 5. Sur les réseaux sociaux, les autorités, les médias et les habitants de l'île ont posté photos et vidéos pour montrer la violence du phénomène et l'étendue de la catastrophe.

Premiers signes dès lundi. Dès lundi, en fin de matinée, les vents ont commencé à prendre de l'ampleur, ce que les habitants ont très vite aperçu sur les côtes.

À mesure que la journée passait, les rafales sont devenues de plus en plus violentes, et le début de la nuit fut déjà très agitée avant même l'entrée dans l’œil du cyclone.

À Sainte-Rose, au nord-ouest de l'île, les habitants ont commencé à percevoir la violence de Maria peu après minuit.

Des scènes qui rappellent Irma. Dans le même temps, les autorités ont publié des images impressionnantes du littoral sud de Basse-Terre, malmené par Maria. Palmiers couchés, poteaux bringuebalants… Les scènes rappellent celles d'Irma, quelques jours plus tôt, à Saint-Martin et Saint-Barthélémy.

Le chef-lieu Pointe-à-Pitre n'est pas épargné par les pluies diluviennes qui touchent l'île en plus du vent. La chaîne de télévision ultra-marine, La 1ère, a capté ces moments, alors que des habitants ont pu mesurer l'ampleur des inondations dans la ville après le passage de l'ouragan.