Engie prévoit 504 suppressions de postes dans ses sièges en Europe d'ici à fin 2018 dont 312 en France, a annoncé mercredi une porte-parole de l'énergéticien.
Fermeture du siège en Angleterre. Cette réorganisation présentée lors d'un comité de groupe européen se traduira par 116 suppressions de postes à Bruxelles et 76 à Londres et aboutira à la fermeture du siège d'Engie en Angleterre, a-t-elle précisé. Des fonctions supports telles que les ressources humaines, la communication, les services juridiques et la stratégie sont concernés.
Pas de licenciements assure Engie. L'ex-GDF Suez a précisé que ces réductions d'effectif faisaient suite à la mise en place de sa nouvelle organisation, en 2016, et qu'elles n'entraîneraient aucun licenciement. A la place, Engie prévoit des départs volontaires, des mesures de mobilité, des formations et de départs anticipés à la retraite.
Le coordinateur de la CFE-CGC chez Engie avait auparavant évoqué sur Twitter 618 suppressions de postes, un chiffre qui ne prend pas en compte, selon Engie, les créations prévues.