L'étudiante japonaise disparue à Besançon début décembre a été assassinée, mais le corps n'a pas encore été retrouvé, et un mandat d'arrêt a été délivré contre son ancien petit ami chilien, a annoncé mardi la procureure de Besançon Edwige Roux-Morizot.
Le suicide ou la volonté de disparaître "clairement exclus". "Le suicide, la disparition volontaire sont clairement exclus par les éléments de l'enquête et par les témoignages. Les éléments de l'enquête sont suffisamment importants pour saisir le juge d'instruction du chef d'assassinat", a expliqué la magistrate au cours d'une conférence de presse suivie par de nombreux journalistes nippons.