Le ministère de l'Agriculture a indiqué vendredi que certains élevages français de poules pondeuses avaient utilisé de l'amitraze et annoncé rechercher dans les œufs des résidus de cet insecticide interdit pour les élevages de volailles.
L'Anses va évaluer le risque sanitaire. Le gouvernement néerlandais a révélé mercredi qu'un deuxième insecticide "modérément toxique" avait été utilisé par Chickfriend, le prestataire de services incriminé dans l'affaire du fipronil. Le gouvernement français a donc demandé à l'Anses "d'évaluer le risque sanitaire éventuel que présenterait la présence de tels résidus dans les œufs".