Le projet de loi contre les dérives sectaires, discuté à l'Assemblée nationale, suscite de nombreuses réactions, notamment en raison de son article 4, adopté ce mercredi, qui crée un délit de provocation à l'abandon de soins. Dans l'émission Pascal Praud et vous, la députée Renaissance rapporteure du texte, Brigitte Liso, affirme qu'il ne s'agit pas d'une loi anti-lanceurs d'alerte, ni anti-Raoult. Interpellée par une auditrice d'Europe 1 qui estime qu'elle "n'est pas dans la réalité", l'élue du Nord a répondu à ses critiques, notamment sur les potentielles pressions des laboratoires pharmaceutiques.