Dans une interview accordée au Figaro, moins d'une semaine après l'attaque mortelle au couteau près du pont Bir-Hakeim à Paris, la Première ministre Élisabeth Borne a déclaré que s'il le fallait, le gouvernement "ira encore plus loin" en mettant davantage de moyens pour protéger les Français. Mais pour Arthur, auditeur de l'émission Pascal Praud et vous, cette déclaration est tardive dans ce contexte d'insécurité. Les membres du gouvernement "se réveillent complètement après la bataille. Ce n'est pas nouveau, (l'insécurité) gangrène les quartiers, les campagnes, les villes moyennes", lance-t-il sur Europe 1, évoquant "un avant et un après Crépol" en référence à la mort du jeune Thomas mi-novembre lors d'une fête dans ce village de la Drôme.