Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a "regretté" certains propos tenus lors de la fameuse réunion du 8 novembre 2010 sur les quotas, lors de son audition en région parisienne, dans le plus grand secret, lundi.
Lors de son audition dans le cadre des enquêtes de la Fédération française de football et du ministère des Sports, le technicien national n'a pas nié "la réalité de la conversation" du 8 novembre et a "regretté" certains propos tenus, soulignant que cette discussion ne "le concernait pas directement".
Par ailleurs, les enquêtes ont surtout pointé la responsabilité de celui à "l'origine des conversations" (François Blaquart, Directeur technique national, ndlr) et un "manque de circulation de l'information à la FFF".