L'info. Au micro d'Europe 1, le troisième gardien des Bleus est apparu soulagé. Libéré d'un poids, d'une peur, celle de voir le parcours de la France s'arrêter dès les 8ème de finale. Ce ne fut pas le cas (victoire de la France 2-0), mais que ce fut dur. Au-delà du sportif, Landreau a partagé son bonheur de "vivre humainement" cette Coupe du monde : "c'est fort et beau à vivre de l'intérieur". Dans ce rôle toujours spécial de troisième gardien, le joueur de 35 ans trouve son équilibre, à l'image de l'équipe : "chacun est à sa place, à sa manière bien sûr. Mais il y a vraiment une unité, c'est beau ce qu'on vit". Un seul facteur semble plus difficile à gérer, le stress : "je suis rentré dans une phase où je me dis que chaque match peut-être le dernier, c'est dur".
RÉCIT - Les Bleus se qualifient dans la douleur