Après des heures et des heures de réunion, le Conseil fédéral de la Fédération française de football (FFF) a rendu son verdict. Pas de sanction pour Laurent Blanc, ni pour Mohamed Belkacemi, le cadre de la FFF qui aurait enregistré la réunion du 8 novembre dernier, l'origine de l'affaire des quotas. Pas de sanction mais des excuses. Le Conseil fédéral, organe décisionnaire de la FFF, a présenté jeudi "ses excuses à ceux qui ont été blessés" dans le cadre de l'affaire des quotas.