Il n'en restera qu'un. Qu'un parmi les trente-deux partants qui s'élancent, dès jeudi dans une épreuve aussi attendue que passionnante. Un seul soulèvera le trophée sorti de son coffre-fort pour l'occasion et obtiendra l'autorisation de fêter son titre jusqu'en 2018, pendant que tous les déçus retourneront à leurs études.
Qui sera celui-là ? Le Brésil, pays organisateur et éternel favori d'une compétition qu'il a le plus souvent gagnée ? L'Argentine voisine, portée par Lionel Messi et qui serait ravie de soulever le trophée en or chez son plus grand rival ? L'Espagne, tenante du titre et double tenant de l'Euro, qui semble toujours aussi forte ? Ou peut-être l'Italie, toujours là où on ne l'attend pas ? A moins que ce ne soit l'Allemagne, la France, le Portugal, l'Angleterre, les Pays-Bas ou la Belgique ?
Une seule chose est sûre aujourd'hui, à l'heure où le rideau s'ouvre : le 13 juillet, il n'en restera qu'un. Mais lequel ?
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