L’Euro 2016, du 10 juin au 10 juillet, c’est 51 matches, 24 équipes et 10 stades répartis dans toute la France. Pour s’y retrouver, le Lab Euro vous présente chacune des dix enceintes. Voici tout ce qu’il faut savoir sur le Parc des Princes.
- Une enceinte historique
Situé dans le 16ème arrondissement de Paris, le "Parc" est l’un des stades les plus anciens de la région. Et pour cause, il va fêter ses 119 ans cet été, si l’on se base sur l’année de sa première inauguration, en 1897. Pendant des décennies, il est resté le stade principal de l’équipe de France avant de devenir celui du Paris Saint-Germain en 1974. Rénové en 1972, il peut aujourd’hui accueillir jusqu’à 45.000 spectateurs dans ses quatre tribunes mythiques (Auteuil, Boulogne, Paris et Borelli).
- Les matches de l’Euro 2016 au Parc des Princes
Le Parc des Princes accueillera 5 matches :
Dimanche 12 juin, à 15h :Turquie-Croatie (groupe D)
Mercredi 15 juin, à 18h :Roumanie-Suisse (groupe A)
Samedi 18 juin, à 21h : Portugal-Autriche (groupe F)
Mardi 21 juin, à 18h : Irlande du Nord-Allemagne (groupe C)
Samedi 25 juin, à 18h :Huitième de finale (1er groupe B contre 3e groupe A/C/D)
- Les Bleus au Parc des Princes
L’équipe de France a joué 129 matches au Parc des Princes, mais seulement deux depuis le déménagement au Stade de France, en 1998. On peut retenir ces deux rencontres marquantes :
France-Suisse, le 12 février 1905 (1-0) : en amical, l’équipe de France joue le premier match de son histoire à domicile, quelques mois après la création de la FIFA. Devant 500 spectateurs et grâce à un but de Gaston Cyprès, les Bleus s’imposent 1 à 0.
France-Espagne, le 27 juin 1984 (2-0) : en finale de l’Euro 1984 joué à domicile, les Bleus viennent à bout des Espagnols, avec le coup franc mythique de Michel Platini mal capté par le gardien espagnol Luis Arconada.
France-Bulgarie, le 17 novembre 1993 (1-2) : L'équipe de France, qui vient de perdre à la surprise générale contre Israël (2-3), a encore la qualification pour le Mondial 1994 au bout de ses pieds avant de recevoir la Bulgarie. Jusqu'au temps additionnel, les Bleus tiennent le nul nécessaire. Et puis Kostadinov...
En résumé :