France-Espagne, c’est ce qu’on appelle une affiche de prestige entre deux nations qui se connaissent parfaitement. Elles se sont déjà affrontées plus de 80 fois dans l’histoire du handball. Ancien international, l’actuel sélectionneur des Bleus Guillaume Gille se souvient de "France-Espagne où ce n’était pas que des caresses dans le dos".
Objectif : la première place du groupe
Si les Bleus ont décroché l’or aux derniers JO, la Roja a fini sur le podium de toutes les dernières grandes compétitions : Jeux, championnats du monde et d’Europe. Ludovic Fabregas évolue en club à Barcelone et attend avec plaisir ce dernier match du tour principal : "Il y a toujours beaucoup d’envie. Ce sont des matches qui ont généralement lieu vers le dernier carré. Ça a une saveur particulière de se jouer sur un match de Tour principal où l’enjeu pour les quarts est inexistant parce que les deux équipes sont qualifiées."
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Le pivot tricolore continue : "Il y a cette volonté d’aller chercher la 1ère place du groupe et de se frotter à une des meilleures nations pour continuer à engranger de la confiance et des certitudes pour ce qui va arriver." Et ce qui va arriver, ce sera mercredi un premier match couperet. Un quart de finale à Gdansk face à la Norvège ou à l’Allemagne. Il faudra attendre lundi soir pour être fixé sur l’adversaire.