Algérie

Invité dimanche du Grand Rendez-vous sur Europe 1, le chef du MoDem a salué le caractère pacifiste de la mobilisation contre la nouvelle candidature d'Abdelaziz Bouteflika.

Une centaine de personnes ont manifesté samedi dans la capitale tunisienne pour affirmer leur soutien à la mobilisation des Algériens contre la nouvelle candidature d'Abdelaziz Bouteflika. 

Samedi, le gouvernement a décidé d'avancer et d'allonger les vacances, forçant de nombreux étudiants à quitter le campus alors que plusieurs universités sont en grève depuis plusieurs jours.

Le Musée national des Antiquités et Arts islamiques d'Alger a été vandalisé vendredi, en marge de la nouvelle journée de manifestations contre la candidature d'Abdelaziz Bouteflika. 

Le requête, déposée par la présidente de la branche suisse de l'ONG Avocats sans frontières, demande la nomination d'un ou plusieurs curateurs en invoquant l'état de santé d'Abdelaziz Bouteflika.

La presse algérienne a consacré une large partie de ses pages au troisième vendredi de manifestations dans le pays pour protester contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika.

L'opposant algérien, qui s'est porté candidat à l'élection présidentielle, a été interpellé vendredi par la police à l'intérieur de l'hôpital de Genève où est soigné le président Abdelaziz Bouteflika. 

Pour le troisième vendredi consécutif, une marée humaine a défilé dans les rues d'Alger pour protester contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika. 

Le président algérien, dont la candidature à un cinquième mandat est vivement contestée, est hospitalisé depuis fin février à Genève. Son état de santé fait l’objet de toutes les spéculations.

Dans la série "Au cœur de l’histoire", Fabrice d'Almeida éclaire un fait d'actualité à la lumière d’un événement historique. Aujourd’hui, le spécialiste s’intéresse à une femme française d’exception : Germaine Tillion.

De nouvelles manifestations d'ampleur sont attendues vendredi en Algérie, alors qu'Abdelaziz Bouteflika s'est adressé à son peuple, jeudi. "Ils veulent nous inciter à la haine", confie une étudiante de 19 ans sur Europe 1.

L'homme d'affaires et candidat déclaré à la présidentielle en Algérie Rachid Nekkaz a affirmé jeudi soir sur Europe 1 qu'il se rendrait vendredi à Genève "pour voir" si Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé dans la ville suisse, "va bien".

Dans un message diffusé par l'agence officielle APS, le président algérien a appelé à "la vigilance" contre une possible "infiltration" de l'actuel mouvement de contestation contre sa candidature à un 5ème mandat.

Jeudi, un millier d'avocats du barreau d'Alger ont manifester pour réclamer que le Conseil constitutionnel invalide la candidature à un 5ème mandat du président Abdelaziz Bouteflika.

Pour protester contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un 5ème mandat, un millier d'étudiants se sont rassemblés mardi matin notamment dans le centre d'Alger.

Pour la chercheuse Farida Souiah, interviewée par Europe 1, la colère des Algériens ne s'explique pas par la seule candidature de Bouteflika à un nouveau mandat, mais dénonce également le "népotisme" de la classe dirigeante.

Alors que le Conseil constitutionnel a refusé son dossier de candidature, l'homme d'affaires a fait enregistrer son cousin à sa place, et promet que ce dernier démissionnera en cas d'élection pour lui laisser la présidence. 

L'absence de prise de position de la part de l'exécutif français vis-à-vis de la crise algérienne trahit la crainte d'une montée des islamismes si Abdelaziz Bouteflika devait quitter le pouvoir.

L'actrice et réalisatrice franco-algérienne Maïwenn a manifesté dimanche à Paris contre la cinquième mandat que brigue le président Bouteflika. Elle voit dans la fronde des Algériens l'espoir d'un renouveau..

Chaque jour, Vincent Hervouet traite d’un sujet international.

Chaque matin, Jean-Michel Aphatie a carte blanche pour nous éclairer sur un sujet qui l'a marqué dans l'actualité.

Plusieurs centaines de manifestants ont défilé dimanche soir dans le centre d'Alger pour protester contre la candidature d'Abdelaziz Bouteflika, déposée un peu plus tôt. 

Pour Kader Abderrahim, maître de conférence à Sciences Po, le système politique qui gravite autour d'Abdelaziz Bouteflika est "extrêmement opaque" et ne tend qu'à assurer son avenir. 

Le président algérien a confirmé sa candidature dimanche. Il a également promis, s'il est élu, de ne pas aller au bout de son mandat et de se retirer à l'issue d'une présidentielle anticipée. 

À Paris, ils étaient 6.000, selon la préfecture, à s'être donnés rendez-vous dimanche place de la République contre un cinquième mandat présidentiel d'Abdelaziz Bouteflika. Et ils étaient un millier à Marseille.

"Pouvoir assassin", "Dégage, dégage", scandaient notamment les manifestants rassemblés contre le président algérien, symbole pour eux d'un système" illégitime et corrompu". 

"Bouteflika dégage!", ont scandé une centaine d'étudiants, bloqués par la police à proximité de la Faculté centrale d'Alger, dimanche après-midi. La police a fait usage d'un canon à eau. 

Invité du Grand Rendez-Vous dimanche matin, le ministre de l'Agriculture a commenté la situation en Algérie, où le président Abdelaziz Bouteflika fait face à une contestation sans précédent. 

Chaque dimanche, Bernard Poirette reçoit une personnalité pour évoquer l'actualité. Aujourd'hui, Pierre Vermeren, grand spécialiste du Maghreb contemporain, analyse les manifestations algériennes contre un cinquième mandat d'Abdelaziz Bouteflika.

Pour Pierre Vermeren, spécialiste du Maghreb, il ne fait aucun doute que le président algérien, en dépit de la pression populaire et de son état de santé, ne brigue officiellement dimanche un cinquième mandat.