Bachar al-Assad

Des affrontements se déroulent depuis le début de la semaine à la périphérie de cette province, la dernière à échapper entièrement au régime de Bachar al-Assad. 

Le dirigeant syrien s'en est pris lundi à la politique de la France au Moyen-Orient. 

Le dirigeant syrien s'en est pris à la politique de la France au Moyen-Orient, l'accusant de soutenir le terrorisme et lui refusant le droit de "parler de paix" en Syrie.

Le président a promis une victoire rapide contre le groupe djihadiste. 

Le président russe a "félicité" son homologue syrien pour ses résultats dans la lutte contre le terrorisme. 

Damas accuse l'ONU d'avoir "falsifié la vérité" dans son rapport désignant le régime syrien comme responsable de l'attaque chimique de Khan Cheikhoun, en avril dernier. 

Les experts ont conclu qu'il était "certain que le responsable de cette attaque sur Khan Cheikhoun est le régime syrien".

Appuyées par l'aviation russe, les forces du régime de Bachar al-Assad avaient réussi vendredi à pénétrer dans Mayadine, l'un des derniers bastions des djihadistes.

"Il n'y aura ni coopération de sécurité, ni ouverture d'ambassades" pour les États qui n'ont pas rompu les liens avec les rebelles, a averti dimanche Bachar al-Assad.

Donald Trump a également dénoncé la "menace" pour le Moyen-Orient que pose selon lui le groupe chiite libanais Hezbollah, soutenu par l'Iran.

Le dernier bilan de l'OSDH, publié le 13 mars, faisait jusqu'ici état de 320.000 morts dont 96.000 civils.

Emmanuel Macron a affirmé jeudi qu'il ne faisait plus du départ de Bachar al-Assad un préalable à toutes discussions sur la Syrie.

La diplomatie russe estime que le rapport des experts "pousse directement tout lecteur [...] à conclure que les forces gouvernementales syriennes sont responsables".

Les États-Unis ont accusé lundi soir le régime syrien de Bachar al-Assad de préparer une nouvelle attaque chimique.

Dans un communiqué, la Maison-Blanche annonce avoir identifié de "potentiels" préparatifs d'attaque chimique par le régime syrien.

Le président français désigne comme priorité numéro un la lutte contre tous les terroristes et souhaite, la stabilité de la Syrie.

Le drone abattu n'a pas causé de dégâts sur les forces de la coalition, selon un porte-parole.

Bachar al-Assad, le président syrien, a assuré que les pires heures de la guerre civile en Syrie appartiennent désormais au passé après une série d'avancées de ses troupes sur le terrain.

Emmanuel Macron a garanti lundi que la France riposterait "immédiatement" à "toute utilisation d'armes chimiques" en Syrie.

Les évacuations du quartier de Qaboun font suite à celles de deux autres quartiers rebelles de Damas tenus depuis 2012 par les opposants au président Bachar al-Assad.

La principale formation d'opposition au régime de Bachar el-Assad a élu Riad Seif, 70 ans, à sa tête.

Un médecin syrien dénonce, lundi sur Europe 1, des attaques systématiques du régime de Bachar al-Assad depuis un mois sur des hôpitaux en Syrie.

En janvier, le régime syrien avait accusé son voisin israélien d'avoir bombardé son aéroport militaire de Mazzé.

L'attaque au gaz sarin, attribuée au régime de Bachar al Assad par les puissances occidentales, a tué 87 civils. 

L'opération se déroulait mercredi sous haute surveillance, avec plusieurs dizaines de rebelles armés gardant les bus stationnés.

Les déclarations tenues jeudi par le président Bachar al Assad sont un mensonge et relèvent de la propagande, a déclaré vendredi à Pékin Jean-Marc Ayrault.

Selon les évaluations préliminaires des experts, l'attaque chimique présumée menée le 4 avril à Khan Cheikhoun est "une allégation crédible".

Dans une interview exclusive donnée à l'AFP, le président syrien Bachar al-Assad est revenu sur l'attaque chimique de Khan Cheikhoun. 

Les Etats-Unis assurent avoir la preuve que l'attaque au gaz sarin en Syrie le 4 avril dernier, est bien l'oeuvre du régime de Bachar al-Assad.

Le Conseil de sécurité doit voter une résolution condamnant l'attaque chimique d'une ville syrienne le 4 avril dernier.