Bachar al-Assad

Bachar al-Assad sera l’invité d’Europe 1 et de TF1, jeudi 16 février pour une interview exclusive.

L'activité repart timidement dans cette ville reprise par le régime syrien aux rebelles il y a deux ans. Mais certains quartiers sont toujours à l'abandon.

Après un premier round de négociations en janvier, rebelles et gouvernement syriens se retrouvent de nouveau à la table des discussions de paix dans quatre jours au Kazakhstan.

"Ils n'ont pas du tout besoin de zones de sécurité", a affirmé Bachar al-Assad en référence aux réfugiés et déplacés syriens.

Sur Europe 1, mardi, Kays, ancien détenu d'une prison gouvernementale en Syrie, a raconté son calvaire.

Réunis à Astana, au Kazakhstan, les émissaires des différentes parties prenantes du conflit en Syrie seraient proches de s'accorder sur un texte commun.

Le régime de Bachar al-Assad et des représentants des groupes rebelles syriens négocient pendant deux jours au Kazakhstan pour tenter de trouver une solution pacifique au conflit.

Pour Agnès Levallois, spécialiste du Moyen-Orient, invitée lundi sur Europe 1, la conférence d'Astana peut permettre à l'aide humanitaire d'entrer dans le pays et "c'est déjà positif".

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'hommes (ODSH), des raids menés par l'aviation du régime syrien ont frappé des civils, dimanche, dans la province de Homs.

Les déclarations du vice-Premier ministre turc invitent à faire participer Bachar al-Assad au processus de règlement du conflit syrien. Une inflexion qui traduit le rapprochement entre Ankara et Moscou.

Le candidat à la présidentielle François Fillon a tenu à éclaircir ses positions sur le dictateur syrien Bachar al-Assad en affirmant qu'il était "un dictateur".

Le président syrien a accordé une interview à trois médias français, une première depuis la reprise d'Alep fin décembre. Il estime que la victoire du régime syrien est proche.

92 personnes étaient à bord de cet avion qui transportait essentiellement des soldats vers la Syrie.

Selon le Kremlin, le précédent appel officiellement révélé entre les deux hommes remonte à mars.

Les opérations pourraient durer jusqu'à vendredi selon la Croix-Rouge. 

Depuis le début des opérations d'évacuation, 25.000 civils et rebelles ont été évacués selon le porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Les rebelles évacués d'Alep doivent être transférés à Idleb, zone qui échappe encore au contrôle du régime. Mais cela n'a rien d'une mise en sécurité, selon un activiste contacté vendredi par Europe 1.

Le but de cette réunion est d' "aboutir à un cessez-le-feu dans tout le pays", et aboutir à "l'ouverture de négociations sur une solution politique", selon le chef de la diplomatie turque.

Paralysée par le veto russe et son impuissance, la communauté internationale n’a pas su éviter le drame humanitaire qui touche la deuxième ville syrienne. 

Alors qu'un accord avait été conclu pour permettre l'évacuation de rebelles et de civils, l'opération a suspendue. Les bombardements ont repris.

Les djihadistes ont repris Palmyre dimanche, neuf mois après en avoir été chassés par l'armée. 

La liste des atrocités s'allonge à Alep à mesure que l'armée progresse dans la ville. Les civils n'ont plus d'espoir.

Les rebelles syriens se sont retirés des six derniers quartiers d'Alep où ils résistaient encore.

Les hommes de Bachar al-Assad sont en passe de contrôler la totalité d'Alep après s'être emparés d'un grand quartier de la ville lundi.

L'armée syrienne a poursuivi les combats dans les rues d'Alep, où des milliers de civils restent toujours bloqués. Dans le même temps, l'État islamique est à nouveau entré à Palmyre, la cité antique dont les djihadistes avaient été chassés en mars dernier.

La quasi-totalité de la ville d'Alep est tombée aux mains du régime syrien. Un signe de la fin de la guerre ?

Proche des positions de l'ancien leader cubain, Bachar al-Assad salue la résistance légendaire" de Fidel Castro.

Le candidat à l'élection présidentielle Emmanuel Macron a dévoilé, vendredi sur Europe 1, les grandes lignes de son programme sur la scène internationale.

Bachar al-Assad a réagi mardi soir, dans un entretien à la télévision portugaise, à l'élection de Donald Trump, assurant qu'il pourrait être "un allié".

Dans une interview au "Sunday Times", le président syrien affirme que la Russie a la puissance de feu russe a supplanté l'action de la coalition occidentale contre Daesh.