brexit

Interrogé sur Europe 1, Jeremy Stubbs, le président du parti conservateur britannique en France, estime que la Première ministre pourrait décrocher au sein du Parlement une majorité susceptible de valider l'accord qu’elle a négocié avec Bruxelles sur le Brexit.

"Le nombre de demandeurs d'Irlande du Nord et de Grande-Bretagne continue d'augmenter depuis le vote sur le Brexit en juin 2016", indique le ministère irlandais des Affaires étrangères dans un communiqué. 

L'acteur britannique Benedict Cumberbatch sera à l'affiche en janvier prochain du téléfilm "Brexit : The Uncivil War" diffusé sur Channel 4.

Le président russe Vladimir Poutine a estimé jeudi que ne pas reconnaître la victoire électorale de Donald Trump était un manque de respect pour ses électeurs. 

Alors que Theresa May enchaîne les défaites politiques, les anti-Brexit commencent à donner de la voix outre-Manche. Ils réclament un second référendum. Une option qui apparaît de plus en plus plausible.

Le texte précise qu'en l'absence d'accord entre Londres et Bruxelles, les futures ordonnances devront permettre de veiller à "préserver l'attractivité du territoire français pour les ressortissants britanniques" appelés à travailler dans l'Hexagone.

Un deuxième référendum "diviserait encore notre pays au moment même où nous travaillons pour l'unir", va expliquer lundi Theresa May aux élus du Parlement. 

La Première ministre britannique a accusé l'ancien chef de gouvernement travailliste Tony Blair d' "insulter" le peuple britannique en appelant à un second référendum.

Alors que Theresa May demande des "clarifications" sur certains points de l'accord de divorce avec l'UE, Emmanuel Macron a prévenu vendredi qu'il n'était pas question de le "renégocier". 

Jeudi soir, Theresa May est allée plaider une renégociation de l'accord du Brexit avec les 27 États membres de l'Union européenne. La rencontre a tourné au vinaigre, faisant craindre un "no deal".

Après le report du vote qui était prévu cette semaine, le Parlement britannique se prononcera sur l'accord de Brexit conclu par Theresa May avec l'Union européenne en janvier.

Après la victoire de Theresa May au vote de défiance à son encontre mercredi, les Européens ont déclaré qu'il étaient prêts à "l'aider" mais pas à renégocier l'accord sur le Brexit conclu en novembre après 17 mois de pourparlers.

La Première ministre britannique a remporté mercredi le vote de défiance, organisé par des députés mécontents de l'accord de Brexit conclu entre Londres et Bruxelles. 

La Première ministre britannique a fait cette annonce mercredi devant le comité 1922, responsable de l'organisation interne des conservateurs. 

La Première ministre britannique Theresa May est menacée par un vote de défiance sur l'accord conclu avec l'Union européenne. 

Mardi, Theresa May va s'entretenir avec son homologue néerlandais Mark Rutte avant de se rendre à Berlin pour échanger avec la chancelière Angela Merkel.

Les députés français ont adopté un texte qui permet au gouvernement d'agir par le biais d'ordonnances afin de faire face au casse-tête du Brexit. 

Donald Tusk, le président du Conseil européen, compte sur ce sommet pour lever les doutes des élus britanniques quant à l'accord de divorce conclu en novembre, il exclut toutefois toute renégociation.

Devant les parlementaires britanniques, Theresa May a annoncé lundi un report du vote sur l'accord de Brexit Accord. Elle a aussi indiqué qu'elle allait retourner discuter à Bruxelles avec ses homologues de l'Union européenne.

La chambre des Communes pourrait rejeter l'accord négocié fin novembre par Theresa May et Bruxelles sur la sortie du Royaume-Uni de l'UE, théoriquement prévue le 29 mars 2019.

Selon un arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE), "le Royaume-Uni est libre de révoquer unilatéralement la notification de son intention de se retirer de l'Union européenne".

Selon la directrice du FMI, Christine Lagarde, "il y a plus de regrets au Royaume-Uni qu'il n'y en avait il y a six mois" face à la perspective du Brexit.

Nigel Farage, qui a milité pour la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne lors du référendum de 2016, quitte le parti europhobe qu'il a co-fondé, le jugeant en perte de vitesse. 

Une centaine de personnes s'est réunie lundi près de Downing Street, et une pétition a été remise à la Première ministre britannique, pour demander la tenue d'un second référendum sur le Brexit. 

"Je suis très inquiet de la façon dont les entreprises françaises s'intéressent à ce sujet", a affirmé le ministre lors d'une audition devant la Commission spéciale Brexit de l'Assemblée nationale.

Quel que soit le scénario de sortie de l'Union européenne, le Brexit aura un coût pour l'économie britannique. Et il pourrait être énorme, a averti mercredi la Banque d'Angleterre.

La Chambre des Communes britannique s'exprimera le 11 décembre prochain sur l'accord de retrait de l'UE conclu avec Bruxelles dimanche.

L’UE et le Royaume-Uni sont parvenus dimanche à sceller un accord de divorce, mais Bruxelles et Londres se donnent encore deux à trois ans pour régler les questions en suspens.

Interrogé dimanche sur un possible parallèle entre le Brexit et le mouvement des "gilets jaunes", Emmanuel Macron a préféré balayer les amalgames.

La Première ministre britannique Theresa May a affirmé dimanche que l'accord entérinant le divorce avec l'Union européenne était "le seul possible".