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Lors d'un sommet européen à Salzbourg, la Première ministre britannique Theresa May a appelé l'UE a "faire évoluer sa position", alors que Londres et Bruxelles continuent de buter sur certains points des négociations sur le Brexit. 

Le dirigeant polonais souhaite que les 27 définissent "une vision commune" sur ce que seront les bases de la future relation commerciale du bloc européen avec le Royaume-Uni. 

Selon Theresa May, son plan est le seul qui réponde à la volonté d'une majorité de Britanniques de quitter l'UE tout en évitant l'instauration d'une frontière dure entre la province britannique d'Irlande du Nord et l'Irlande, membre de l'UE.

La Première ministre britannique s'est dite "agacée" dimanche dans une interview télévisée accordée à la BBC face aux débats sur son avenir politique alors que les négociations sur le Brexit s'accélèrent.

Le choix de Paris comme nouveau siège de l'EBA avait été entériné en novembre 2017 par les 27 États membres de l'UE, mais il restait encore à choisir le lieu exact. 

Les négociations sur la première phase du Brexit pourraient aboutir à un accord dans le courant du mois de novembre, selon Michel Barnier, qui gère le dossier pour l'Union européenne.

Boris Johnson, potentiel challenger de la Première ministre conservatrice, avait claqué en juillet la porte du gouvernement pour marquer son désaccord avec le "plan de Chequers" proposé par Theresa May.

Boris Johnson a dénoncé une fois de plus les propositions de Theresa May pour le Brexit, estimant que Bruxelles sortira "victorieuse" des négociations avec Londres.

Le négociateur de l'Union européenne sur le Brexit a évoqué une prolongation des négociations avec Londres, actuellement dans l'impasse, en indiquant qu'elles devraient être bouclées "d'ici mi-novembre", contre le 18 octobre auparavant. 

Le jeu "Not tonight" dépeint un Londres très sombre avec des immigrés parqués dans des camps et un gouvernement de plus en plus autoritaire.

Si aucun accord n'est trouvé entre le Royaume-Uni et l'Union européenne, les dons de sperme avec les pays européens pourraient être largement compliqués pour les couples britanniques.

"Les négociations entrent maintenant dans leur phase finale. L'UE et le Royaume-Uni vont désormais négocier en continu", a annoncé mardi Michel Barnier, le négociateur en chef de l'UE.

"Les gens se rendent de plus en plus compte que le Brexit va être un désastre", a déclaré Julian Dunkerton, qui a donné un million de livres (plus d'un millions d'euros) pour l'organisation d'un nouveau référendum. 

En cas de Brexit dur, les sandwichs de Marks and Spencer fabriqués outre-Manche pourraient bien ne plus parvenir jusqu'en France, alors qu'ils ne conservent que deux jours. 

Le système financier britannique est "prêt" à une telle éventualité, a prévenu vendredi le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney. 

Jeremy Hunt, le nouveau ministre des Affaires étrangères britannique, se rend en Chine lundi pour rencontrer son homologue et discuter des relations commerciales entre leurs deux pays. Il se rendra ensuite en France et en Autriche.

Après les démissions de deux ministres en désaccord avec elle sur le Brexit, Theresa May annonce mardi qu'elle dirigera désormais les négociations sur la sortie de l'UE. 

Dominic Raab, le nouveau ministre britannique du Brexit a prévenu l'UE que sans accord commercial, le Royaume-Uni ne paiera pas la facture du divorce avec Bruxelles.

Le nouveau ministre britannique du Brexit, Dominic Raab, a assuré dans une interview à paraître dimanche que le paiement de la sortie du Royaume-Uni de l'UE ne pourra se faire sans qu'un accord commercial ne soit trouvé. 

Une enquête contre Vote Leave a démontré que cette campagne n'a pas respecté les limites de dépenses légales. 

Lundi, sur un projet de loi sur le fonctionnement des douanes, Theresa May a fait des concessions au clan des eurosceptiques. 

L'ex-ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson a retrouvé son post d'éditorialiste au quotidien europhobe "Daily Telegraph" et a publié dimanche sa première tribune depuis sa démission du gouvernement de Theresa May.

Cette semaine, le nouveau ministre du Brexit doit rencontrer le négociateur pour l'UE, Michel Barnier, afin de relancer les négociation sur le Brexit.

"Il m'a dit de ne pas aller dans les négociations, mais de poursuivre l'UE en justice", a expliqué la Première ministre britannique.

Lors d'une conférence de presse commune au Royaume-Uni, Donald Trump et Theresa May ont aussi insisté sur leurs bonnes relations, malgré les critiques récentes du président américain.

Le président américain a vivement critiqué le projet de la dirigeante britannique de relation commerciale avec l'Union européenne après le Brexit.

À l'issue du sommet de l'Otan à Bruxelles, Theresa May a assuré que ses propositions sur la relation commerciale avec l'UE après le Brexit, répondait "au vote des Britanniques, contrairement à ce qu'avait déclaré Donald Trump plus tôt.

Matignon annonce la création d'une école européenne à la rentrée 2019 ainsi que des mesures fiscales et de simplification.

Les départs en série de Londres de grands groupes bancaires, d'assurance et de gestion d'actifs profitent à la capitale française.

La démission, lundi, des ministres britanniques du Brexit et des Affaires étrangères, a jeté le trouble sur l'avenir du Brexit. Mais surtout sur celui de la Première ministre, Theresa May.