Corée du Nord

Un mandat d'arrêt a été émis par la Malaisie contre un Nord-Coréen, dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat de Kim Jong-Nam. 

Les charges qui pesaient sur Ri Jong-Chol ne sont pas suffisantes pour mettre en examen ce Nord-Coréen de 47 ans employé dans les technologies informatiques.

L'un des suspects en détention depuis deux semaines va être relâché, faute de "charges suffisantes". 

L'assassinat du demi-frère du dirigeant nord-coréen Kim Jong-Nam a créé d'importantes tensions diplomatiques entre la Malaisie et la Corée du Nord.

Ces deux femmes, une Indonésienne de 25 ans et une Vietnamienne de 28 ans, accusées de l'assassinat de Kim Jong-Nam, affirment avoir été "dupées".

En Malaisie, deux femmes viennent d'être inculpées dans le cadre de l'enquête sur la mort de Kim Jong-Nam, le demi-frère de Kim Jong-Un.

Selon la police malaisienne, le poison utilisé pour tuer le demi-frère de Kim Jong-Un était dix fois plus puissant que le gaz sarin. Il figure sur la liste des armes de destruction massive de l'ONU.

Une version plus mortelle du gaz sarin a été retrouvée sur le visage du demi-frère du dirigeant de la Corée du Nord, Kim Jong-Nam. 

La Corée du Nord appelle la Malaisie à accepter une enquête conjointe sur l'assassinat à l'aéroport de Kuala Lumpur du demi-frère du dirigeant nord-coréen.

Les policiers malaisiens qui enquêtent sur l'assassinat la semaine dernière du demi-frère en exil du leader nord-coréen veulent interroger un diplomate nord-coréen à Kuala Lumpur.

La Corée du Nord estime qu'elle "ne peut pas faire confiance" à la police malaisienne pour enquête sur l'assassinat du demi-frère du leader nord-coréen.

Les tensions sont de plus en plus vives entre la Corée du Nord et la Malaisie qui a rappelé son ambassadeur à Pyongyang et a convoqué l'ambassadeur nord-coréen.

La police malaisienne a annoncé que, dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du demi-frère de Kim Jong-Un, elle était à la recherche de quatre Nord-Coréens

Cette mesure s'inscrit dans le cadre des sanctions décidées par le Conseil de sécurité des Nations-Unies pour endiguer le programme nucléaire nord-coréen.

C'est la quatrième personne arrêtée dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat de Kim Jong-Nam, un événement qui créé des tensions entre la Corée du Nord, son voisin du Sud et la Malaisie.

Selon un journaliste japonais qui a rencontré régulièrement Kim Jong-Nam entre 2010 et 2012, celui-ci voulait mener une série de réformes en Corée du Nord.

Tant que la famille de Kim Jong-Nam, demi-frère de Kim Jong-Un assassiné en Malaisie, n'aura pas fourni des échantillons ADN, le corps ne sera pas remis à la Corée du Nord.

Kim Jong-Nam est mort lundi après avoir été attaqué par deux femmes qui lui auraient jeté un liquide au visage dans le hall de départ de l'aéroport international de Kuala Lumpur.

Le demi-frère du dirigeant nord-coréen a été assassiné lundi, à l'aéroport de Kuala Lumpur, en Malaisie. Le régime de Pyongyang est pointé du doigt.

La police malaisienne a annoncé mercredi qu'elle avait arrêté une Vietnamienne soupçonnée d'avoir participé à l'assassinat du demi frère de Kim Jong-Un, lundi.

Un temps pressenti comme l'héritier du régime, Kim Jong-Nam aurait été assassiné par deux femmes à l'aéroport de Kuala Lumpur.

Il avait publiquement pris ses distances avec le régime communiste. Les causes de son décès sont inconnues pour le moment. 

La Corée du Nord a tiré dimanche un tir de missile balistique qui est tombé en mer du Japon. 

Le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra lundi en fin d'après-midi une réunion en urgence sur le tir d'un missile balistique effectué par la Corée du Nord.

Le missile tiré a parcouru environ 500 kilomètres avant de tomber en mer du Japon (appelée mer Orientale par les Nord-Coréens)

La Corée de Nord est prévenue. Si elle s'avise de faire une attaque nucléaire contre les Etats-Unis ou ses alliés, cela entraînerait une réponse "efficace" et "écrasante". 

Le président Trump se dit prêt à défendre la Corée du Sud, "y compris par l'apport d'une dissuasion accrue en recourant à une gamme complète de capacités militaires".

Dans sa première conférence de presse à Londres, l'ex-diplomate nord-coréen Thae Yonh-Ho a affirmé que les jours du régime nord-coréen étaient comptés. 

Les informations sur ces tests auraient été divulguées la veille de l'investiture de Donald Trump pour lui envoyer un "message stratégique".

Donald Trump a aussi critiqué via le réseau social Twitter un autre pays asiatique, la Chine.