Corée du Nord

Un diplomate nord-coréen, en poste à Londres, a fui son pays pour se réfugier en Corée du Sud afin d'échapper aux châtiments qui l'attendaient dans son pays, selon Pyongyang.

"Tant que les Etats-Unis continueront de nous menacer avec des armes nucléaires, nous ne cesserons pas nos essais", a affirmé l'Institut de l'énergie atomique nord-coréen.

L'homme, ambassadeur adjoint, a déserté avec sa famille et serait en bonne voie de recevoir l'asile d'un "pays tiers", a annoncé un média sud-coréen.

Ri Se-Gwang, vainqueur de l'épreuve du saut en gymnastique, a sa propre manière de savourer les titres olympiques. À la nord-coréenne.

La Chine a encore fait capoter mardi les négociations au sein du Conseil de sécurité qui visaient à sanctionner la Corée du Nord.

Le régime nord-coréen a montré une fois de plus les muscles en procédant à un test balistique en direction de la mer du Japon.

Une cinquantaine de personnes, parmi lesquels des responsables de ministères, se sont fait voler le mot de passe de leur compte mail. 

Des chercheurs américains ont expliqué vendredi avoir peut-être identifié une usine nord-coréenne cachée d'enrichissement d'uranium par centrifugation gazeuse. 

Pyongyang a annoncé mercredi que les tirs de missiles de mardi avaient servi à tester des systèmes de détonation en vue d'éventuelles frappes nucléaires.

Les États-Unis, qui se disent "préoccupés", vont porter ces nouveaux tirs de missiles devant l'ONU.

La Corée du Nord a menacé de détruire le bouclier antimissile "THAAD" dont la date d'installation n'a pas été encore communiquée.

Un lancement annoncé alors que la Corée du Sud s'est dotée de l'un systèmes de défense antimissile les plus perfectionnés au monde. 

Le système THAAD interceptera et détruira les missiles balistiques et nucléaires en provenance de la Corée du Nord, a précisé vendredi un communiqué.

Les représentants des pays membres du Conseil de Sécurité de l'ONU se sont rassemblés afin de répondre à cette nouvelle menace.

Le Premier ministre japonais a indiqué qu'il allait "œuvrer avec la communauté internationale" pour analyser la nature du tir nord-coréen de mercredi.

Si un de ces tirs a échoué, le deuxième missile a, lui, parcouru 400 kilomètres, d'après le ministère sud-coréen de la Défense.

Le 6 janvier dernier, la Corée du Nord a mené son quatrième essai nucléaire, annonçant avoir fait exploser sa première bombe à hydrogène.

Les Etats-Unis veulent empêcher les établissements financiers de s'installer en Corée du Nord, en réaction à plusieurs tirs de missiles ces derniers mois.

Il s'agirait d'un missile Musudan, pouvant aller jusqu'à 4.000 km, que la Corée du Nord a toujours échoué à lancer avec succès. 

Enfant, Kim Jong-Un "s'irritait facilement et manquait de tolérance", a confié cette tante au Washington Post. 

Donald Trump a affirmé qu'il n'aurait "aucun problème" à parler au dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un s'il était élu président des Etats-Unis.

La vie et la santé de l'équipage ne sont pas en danger.

Le chef de l'Etat nord-coréen Kim Jong-Un s'est vu décerner le titre de président du Parti unique lors du congrès.

La BBC a annoncé lundi que la Corée du Nord avait arrêté un journaliste et allait l'expulser.

Dimanche, lors d'un congrès, les députés du parti unique ont adopté une motion allant dans ce sens. 

Kim-Jong-Un ne fera usage de l'arsenal nucléaire que si la souveraineté du pays est menacée par une autre puissance nucléaire.

Un cinquième essai du régime autoritaire serait en cours de préparation. 

Il s'est ouvert vendredi pour quatre ou cinq jours et devrait permettre au dictateur Kim Jong-Un d'asseoir son pouvoir. 

Le régime qui anime régulièrement l'actualité par ses tests balistiques est finalement très peu connu.

Une journaliste américaine a réussi jeudi à répondre en direct, depuis sa chambre d'hôtel en Corée du Nord, aux questions des internautes.