Kim Jong Un

Le 45ème président des Etats-Unis a montré son enthousiasme quant à la dénucléarisation de la Corée du Nord, quelques semaines avant sa rencontre avec Kim Jong Un.

VIDÉO - Kim Jong Un s'est rendu à Pékin pour une visite non officielle de dimanche à mercredi, signe d'une volonté de rapprochement entre les deux pays avant un sommet entre Donald Trump et le dirigeant nord-coréen.

En voyage en Inde, le président français s'est félicité de la rencontre prévue entre Donald Trump et Kim Jong-un, tout en se montrant "prudent".

La future rencontre entre Donald Trump et Kim Jong-Un rassure les éditorialistes français samedi matin après des mois d'escalade verbale mais ils restent prudents quant aux conséquences réelles de cette entrevue.

L'ancienne star du basket américain Dennis Rodman a salué la rencontre prévue entre Donald Trump et Kim Jong un, rappelant qu'il avait prédit cette ouverture. 

Emmanuel Macron a salué vendredi la future rencontre entre Donald Trump et Kim Jong un, appelant à un "dialogue exigeant". 

La décision de Donald Trump de rencontrer Kim Jong un a surpris tout le monde, y compris son équipe rapprochée qu'il n'a pas consultée. 

L'Union européenne, par la voix de sa porte-parole à la diplomatie, s'est réjouie de la future rencontre historique entre le président américain et le leader nord-coréen.

L'annonce d'une rencontre entre le président américain et le leader nord-coréen a surpris tout le monde car, en coulisses, les négociations ont été rocambolesques. 

Ce rebondissement, impensable il y a encore quelques semaines, intervient après deux années de très vives tensions entre Washington et Pyongyang. 

Selon l'agence nord-coréenne KCNA, le dirigeant nord-coréen "a eu des entretiens à cœur ouvert" avec la délégation sud-coréenne arrivée lundi à Pyongyang.

Les Etats-Unis ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions pour inciter Pyongyang à renoncer à son programme de missiles nucléaires.

Kim Jong Un a invité Moon Jae-in à participer à un sommet à Pyongyang, a annoncé Séoul samedi.

Le porte-parole du régime nord-coréen a assuré que la déclaration de Donald Trump sur son bouton nucléaire "beaucoup plus gros" que celui de Kim Jong-Un n'était que l'expression d'un "dément".

La porte-parole de la Maison Blanche, Sarah Sanders avait déjà affirmé que la phrase citée par le WSJ était en fait au conditionnel. 

Changement de ton pour le président américain. Plus coutumier des insultes, Donald Trump a déclaré jeudi dans un entretien à la presse avoir "sûrement" une bonne relation avec Kim Jong-un.

Le président américain a répondu sur Twitter au dirigeant nord-coréen, qui avait affirmé qu'il avait en permanence à sa portée le "bouton" atomique.

"Les sanctions et les 'autres' pressions commencent à avoir un gros impact sur la Corée du Nord", s'est félicité le président américain sur Twitter.

Le dirigeant nord-coréen s'est rendu dans une usine de cosmétiques de "niveau international" selon lui. Il était accompagné de son épouse et de sa sœur cadette.

Kim Jong-Un a adressé ses "sincères félicitations" au président chinois, dans un message bien moins enthousiaste que celui que le dirigeant nord-coréen avait envoyé à Xi Jinping cinq ans plus tôt.

France 2 diffuse jeudi soir un documentaire inédit dans "Envoyé spécial". Il s'intéresse au basketteur américain Dennis Rodman et à sa relation très particulière avec le dictateur nord-coréen Kim Jong-Un.

Dans une série de tweets dominical, le président américain a estimé que Rex Tillerson "perdait son temps" à négocier avec Kim Jong-Un. 

Rex Tillerson s'est rendu en Chine samedi pour préparer la visite officielle du président Trump en novembre prochain, il y a notamment évoqué les canaux de communication existant avec la Corée du Nord. 

"Moscou reste persuadé qu'il n'y a pas d'autre solution qu'une résolution politique et diplomatique du problème nord-coréen", a indiqué le Kremlin dans un communiqué. 

Le président américain a donné son feu vert à d'éventuelles sanctions qui pourraient viser les banques qui collaborent avec la Corée du Nord. 

Juliette Morillot, spécialiste de la Corée du Nord, assure que les Kim, qui dirigent le pays depuis trois générations, "sont parfaitement rationnels".

Dans une série de tweets et retweets publiés dimanche, le président américain a égratigné à la suite son ancienne adversaire à la présidentielle et le dirigeant-nord-coréen.  

Le dirigeant nord-coréen a salué le tir d'un missile à portée intermédiaire Hwasong-12, estimant qu'il s'agissait d'un pas supplémentaire vers l'arme nucléaire.

"Le monde sera témoin de la façon dont la Corée du Nord dompte les gangsters américains", a prévenu le régime de Pyongyang.

Le régime de Pyongyang a réalisé dans la nuit de vendredi à samedi un sixième essai nucléaire avec une bombe à hydrogène, à la stupéfaction de la communauté internationale.