Kim Jong Un

Le dirigeant nord-coréen est devenu père pour la troisième fois au mois de février, mais on ne l'apprend que maintenant.

La désescalade verbale a-t-elle commencé entre Kim Jong-Un et Donald Trump ? Lundi, le président américain a salué la décision du dirigeant nord-coréen de calmer le jeu.

Le chef de la diplomatie américaine a expliqué qu'un éventuel dialogue dépend de Kim Jong-Un.

Aux yeux de certains analystes, ces commentaires du dirigeant nord-coréen constituent une possible porte de sortie pour désamorcer la crise entre le président américain Donald Trump et la Corée du Nord.

Kim Jong-un a examiné le plan pour tirer des missiles sur l'île américaine de Guam et "l'a discuté" avec de hauts responsables militaires.

Donald Trump a mis en garde le dirigeant nord-coréen qui menace de frapper l'île américaine de Guam. L'escalade verbale continue entre les deux hommes.

La joute verbale entre Washington et Pyongyang fait plus que jamais resurgir la crainte d'un conflit nucléaire.

L'escalade verbale se poursuit entre Pyongyang et Washington. Au coeur des tensions, une île perdue dans le Pacifique, mais abritant une base militaire américaine.

La montée de tension se poursuit entre les États-Unis et la Corée du Nord, qui juge que Donald Trump est "dépourvu de raison". Pyongyang a de nouveau menacé l'île de Guam qui héberge une importante base militaire américaine. 

Dans un communiqué publié par l'agence de presse officielle nord-coréenne, Pyongyang fustige les nouvelles sanctions adoptées contre elle par l'ONU. La Corée du Nord les qualifie de "violation violente" de sa souveraineté.

Washington a fait preuve de fermeté après le tir d'un missile intercontinental, mais la Chine a aussitôt appelé à éviter "les discours et actes" susceptibles d'aggraver les tensions dans la péninsule coréenne. 

L'armée américaine avait initialement mis en doute l'annonce de la Corée du Nord selon laquelle elle avait tiré un missile intercontinental, évoquant seulement un engin de "portée intermédiaire".

Siti Aisyah, 25 ans, et Doan Thi Huong, 28 ans, expliquent avoir été trompées car elles pensaient participer à une caméra cachée. Elles ont toutes les deux été inculpées pour l'assassinat de Kim Jong-Nam

Donald Trump a tenu ces propos lors d'une conversation téléphonique fin avril avec son homologue philippin Rodrigo Duterte. 

Le tir de missile effectué par Pyongyang dimanche visait à vérifier sa capacité à "porter une ogive nucléaire de grande ampleur", selon l'agence de presse officielle du régime.

Le message a été adressé non pas par Kim Jong-Un mais par le chef de l'Etat de la Corée du Nord, Kim Yong-Nam, dont la fonction est largement honorifique.

Les autorités nord-coréennes dénoncent un "complot vicieux" pour tuer leur dirigeant avec "une substance radioactive ou une nanosubstance empoisonnée".

"Si les conditions étaient réunies pour que je le rencontre, je le ferais, absolument. Je serais honoré de le faire", a affirmé le président américain. 

La rhétorique nord-coréenne devient traditionnellement plus agressive chaque printemps.

Si des journalistes du monde entier ont été conviés à une "banale" inauguration, c'est avant tout pour servir la communication nord-coréenne. 

Kim Jong-Un a inauguré jeudi, devant les médias étrangers à Pyongyang, un imposant complexe résidentiel de 5.000 logements. 

Après l'envoi d'un porte-avions au large de la péninsule coréenne, la Corée du Nord a dit qu'elle était prête à réagir, quel que soit "le type de guerre voulu par les États-Unis".

Le gouvernement Trump pourrait sévir contre la Corée du Nord, en raison de son programme nucléaire et de missiles. 

Pour la Corée du Sud, il n'y a pas de doute, la Corée du Nord fait des "progrès significatifs" dans ses programmes balistiques. 

Quelques semaines après l'assassinat de Kim Jong-Nam, et au lendemain de nouveaux tirs de missile, la Corée du Nord nourrit l'inquiétude de la communauté internationale.

Selon l'ambassadeur nord-coréen expulsé de Malaisie, l'enquête autour de l'assassinat du demi-frère de Kim Jong-Un est "orientée".

Les tensions entre les deux pays sont vives après l'empoisonnement à l'aéroport de Kuala Lumpur du demi-frère en disgrâce de Kim Jong-Un.

Ces deux femmes, une Indonésienne de 25 ans et une Vietnamienne de 28 ans, accusées de l'assassinat de Kim Jong-Nam, affirment avoir été "dupées".

En Malaisie, deux femmes viennent d'être inculpées dans le cadre de l'enquête sur la mort de Kim Jong-Nam, le demi-frère de Kim Jong-Un.

Une version plus mortelle du gaz sarin a été retrouvée sur le visage du demi-frère du dirigeant de la Corée du Nord, Kim Jong-Nam.