Syrie

ENQUÊTE - 77 enfants de djihadistes français, partis combattre pour le compte de l'État islamique en zone irako-syrienne, sont rentrés en France. L'État a pour mission de les prendre en charge. Mais de quelle manière ?

Du sarin et du chlore ont été utilisés dans deux attaques dans le sud de la Syrie en mars 2017, a annoncé l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).

"Nous assistons à un déplacement massif à l'intérieur de la Syrie", a déclaré lors d'une conférence de presse le coordinateur humanitaire de l'ONU.

Les Russes "n'ont jamais essayé de nous dicter quoi faire", a déclaré le chef d'Etat syrien dans une interview publiée ce dimanche. 

Ahmed H., interpellé en mars dans le Calvados, a été mis en examen notamment pour "crimes de guerre". Il est soupçonné d'avoir participé au massacre de centaines de soldats chiites, en 2014 en Irak.

Les raids nocturnes attribués à l'aviation de la Russie ont frappé jeudi Zardana, zone contrôlée par des rebelles et des djihadistes.

Le chef du Kremlin a également justifié la présence russe en Syrie en indiquant que l'intervention russe était un "outil unique pour le perfectionnement" de l'armée.

Condamnés une première fois en 2017, les deux hommes ont vu leurs peines alourdies à cinq et six ans de prison ferme par la cour d'appel de Paris.

Selon l'observatoire syrien des droits de l'homme, cinq enfants font partie des victimes. La frappe a eu lieu sur une zone au nord-est de la Syrie. 

Pour l'ambassadeur américain, Damas utilise cette fonction pour tenter de "normaliser le régime", fustigeant au passage son "comportement inacceptable". 

Mélina Boughedir a été condamnée dimanche à la prison à perpétuité par la justice irakienne pour appartenance à l'Etat islamique. Ils sont encore entre 40 et 50 Français en Irak et en Syrie en attente de jugement.

Au moins douze civils d'une même famille, dont deux femmes et leurs enfants, ont été tués vendredi dans des bombardements de la coalition internationale sur un village contrôlé par le groupe État islamique.

Au total, 244 civils ont été tués en mai, dont 33 femmes et 58 enfants. En avril, 395 civils avaient trouvé la mort.

L'agence de l'ONU pour les réfugiés (HCR) n'a reçu qu'un cinquième des financements demandés pour venir en aide aux millions de déplacés et réfugiés syriens.

Dans une interview télévisée diffusée jeudi, le président syrien Bachar al-Assad a déclaré qu'en cas d'échec des négociations avec les Forces démocratiques syriennes, l'armée du régime reprendrait les territoires "par la force".

Reprise il y a un peu plus d'un mois, la Ghouta orientale, a été bombardée pendant de longues années par le régime. Des attaques incessantes pour les assiégés qui résistaient notamment grâce à un complexe réseau de tunnels.

Les sanctions prolongées lundi comprennent un embargo pétrolier, des restrictions sur certains investissements ainsi que des restrictions sur les exportations d'équipements et de technologies.

Dimanche, le ministère russe de la Défense a plus tôt fait état de la mort de quatre soldats russes dans des affrontements dans cette région, sans toutefois mentionner de date ni de lieu précis.

Un Français détenu en Turquie depuis plusieurs mois a été mis en examen samedi à Paris, soupçonné d'avoir combattu pour un groupe djihadiste en Syrie.

Le département, qui a pris en charge 37 enfants de retour de zone de conflit irako-syrienne depuis 2016, appelle l'État à l'aider davantage à faire face à cette mission "complexe".

L'homme de 35 ans, qui se fait appeler Abou Oussama, sans doute en hommage à Oussama Ben Laden, a été arrêté à Raqqa, l'ex-capitale de l'organisation Etat islamique. 

Adrien Guihal est soupçonné d'être la voix de la revendication de l'attentat de Nice en juillet 2016.

L'armée américaine a frappé plusieurs positions militaires du régime syrien, selon l'agence officielle Sana qui ne déplore que des dégâts matériels.

L'homme est considéré comme l'un des commanditaires des attentats du 13-Novembre. Les services de renseignement se montrent prudents face à cette information. 

L'ONU a estimé que le retour des habitants au "camp" de réfugiés palestiniens de Yarmouk, dans le sud de Damas, était "impossible à croire".

Mardi, l'ONG Human Rights Watch a publié un communiqué dans lequel elle appelle au boycott de la cérémonie d'ouverture du prochain Mondial de football.

Pour l'avocate de ce Niçois trentenaire qui est parti en Syrie pendant trois semaines en novembre 2013, il a tourné le dos à la radicalisation et a repris le cours de sa vie depuis plus de deux ans. 

Les forces loyalistes ont repris lundi le dernier bastion du groupe djihadiste État islamique dans la capitale du pays. 

Une deuxième vague d'évacuation de djihadistes de l'EI a pris fin lundi depuis leur dernier fief au sud de Damas. Un accord de cessez-le-feu aurait été trouvé entre le régime et le groupe djihadiste.

"Le bilan pourrait s'alourdir car il y a des dizaines de blessés, dont certains dans un état critique" a indiqué le directeur de l'OSDH.