Syrie

Six bus sont entrés dans une poche du sud de Damas encore tenue par le groupe État islamique pour évacuer les combattants et leurs familles, a annoncé l'OSDH dimanche.

Des entrepôts d'armes et de carburants ont été touchés selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, qui précise ne pas être en mesure d'indiquer les causes de ces explosions. 

Plus de trois mois après l'attaque, l'OIAC confirme mercredi l'utilisation de chlore comme arme chimique contre la ville syrienne de Saraqeb.

Près de 12 millions de personnes ont été forcées de se déplacer dans leur propre pays en 2017 à cause des conflits qui y faisaient rage, selon un rapport de l'organisme de surveillance de ces déplacements (IDMC).

Les combats entre les pro-régime et les djihadistes ont fait au moins 143 morts en une semaine dans le quartier de Hajar al-Aswad, à la périphérie sud de Damas.

Jeudi, des tirs de roquettes en provenance de Syrie ont été tirés vers des positions israéliennes. "Notre armée est très forte et Jérusalem est en général épargné par les tirs de roquettes iraniennes", explique au micro d'Europe 1 une habitante de Jérusalem.

"Au moins 27 combattants prorégime ont été tués : six soldats syriens et 21 combattants étrangers, dont 11 Iraniens", précise l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. 

Le porte-parole des Affaires étrangères iraniennes, Bahram Ghassemi, a "condamné fermement les attaques du régime sioniste".

"Il faut engager la désescalade", a appelé le ministre des Affaires étrangères, inquiet des conséquences de l'annonce du retrait américain de l'accord sur le nucléaire iranien. 

L'Iran ne veut pas de "nouvelles tensions" au Moyen-Orient, a déclaré jeudi le président iranien Hassan Rohani lors d'un entretien téléphonique avec la chancelière allemande Angela Merkel.

Théâtre d’échanges de tirs de missiles dans la nuit de mercredi à jeudi entre Israël et les forces iraniennes, le plateau du Golan est une zone stratégique disputée depuis 1967 entre l’État hébreu et la Syrie. 

Dans le contexte de l'accès de tension entre l'Iran et Israël sur le territoire syrien, les États-Unis ont apporté jeudi leur soutien à leur allié traditionnel.

"Si Israël veut se débarrasser de la menace iranienne à ses frontières, il lui faut éviter une confrontation générale avec tous les alliés de l'Iran dans la région", estime Didier François, spécialiste des questions internationales à Europe 1.

Le président Emmanuel Macron appelle jeudi, depuis Aix-La-Chapelle, à "la désescalade" entre Israël et l'Iran après des tirs sur le sol syrien.

Dans une interview à un quotidien grec publiée jeudi, le président syrien Bachar al-Assad assure que les accusations d'attaque chimique mi-avril sont "une face, une pièce de théâtre" et que son pays n'a plus d'arsenal chimique.

Jeudi matin tôt, Israël a tiré des missiles sur Damas après que des forces iraniennes ont visé son armée sur le plateau du Golan.

La frappe a visé dans la nuit de mardi à mercredi un dépôt d'arme des Gardes de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien.

L'armée syrienne a intercepté mardi soir deux missiles israéliens visant un secteur proche de la capitale Damas, a indiqué l'agence de presse officielle syrienne Sana. 

Jusqu'à présent, les dirigeants de Lafarge étaient soupçonnés de financement du terrorisme et de mise en danger de la vie d'autrui au sens large. Désormais, la menace qui pèse sur eux est encore plus précise : une mise en cause directe dans les attentats du 13-Novembre.

La commission du secret de la Défense nationale a donné son accord à la déclassification de documents "secret défense" concernant les activités du cimentier Lafarge en Syrie.

Pour la première fois, Londres reconnaît une perte civile dans le cadre des frappes menées contre l'EI par la coalition internationale menée par Washington. 

La coalition de combattants kurdes va lancer la phase "finale" de son offensive afin d'éradiquer Daech de l'est de la Syrie, où il contrôle encore des dizaines de localités.

Au moins 23 civils, dont dix enfants, ont été tués mardi dans des raids contre un village contrôlé par l'État islamique dans le nord-est de la Syrie, selon l'OSDH.

Au moins 26 combattants prorégime ont été tués par les missiles qui ont visé dimanche soir des positions militaires du pouvoir syrien de Bachar al-Assad.

Les médias d'Etat syriens ont annoncé  un accord d'évacuation dans le camp de Yarmouk, où des djihadistes de l'État islamique sont présents.

L'armée syrienne a progressé samedi dans un quartier du sud de Damas après de violents affrontements contre l'EI.

Les agents américains et européens ont notamment réussi à neutraliser Amaq, le principal organe de propagande du régime djihadiste.

Les avocats des familles de djihadistes regrettent le "cafouillage" sur le sort des familles de djihadistes détenus en Irak et en Syrie.

Des soldats des forces spéciales françaises ont été envoyés en renfort en Syrie ces deux dernières semaines, a indiqué le ministre américain de la Défense jeudi.

L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) affirme avoir recueilli des échantillons sur ce second site.