Syrie

La ministre de la Justice a indiqué dimanche qu'il serait envisageable que la France négocie "avec l'État en question" si des djihadistes français étaient condamnés à mort. 

Le chef de la diplomatie turque a appelé les Etats-Unis a retiré les centaines de soldats qui sont déployés à Minbej, ville contrôlée par la milice kurde YGP classée comme "terroriste" par Ankara. 

"L'Etat syrien (...), avec tous les moyens qu'il a, devrait faire face à cette agression et déclarer qu'il ne permettra pas aux avions turcs de survoler l'espace aérien syrien", a indiqué le co-président du Conseil exécutif du canton d'Afrine.

Ces roquettes ont été tirées au cinquième jour d'une offensive menée par la Turquie contre l'enclave d'Afrine dans le nord de la Syrie contre une milice kurde.

Les trois avocats défendent deux Françaises capturées après la chute de Mossoul en juillet et incarcérées à Bagdad dans l'attente de leur procès.

Emmanuel Macron a exprimé mardi au président turc sa "préoccupation" concernant l'opération militaire turque contre l'enclave kurde d'Afrine, en Syrie.

Le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson a affirmé lundi que la Russie portait la "responsabilité" des attaques chimiques en Syrie. 

En trois jours de combats dans la région syrienne d'Afrine, 54 combattants ont été tués dans les deux camps adverses, kurdes et rebelles syriens alliés à la Turquie.

Au moins 21 personnes dont des enfants ont été hospitalisées pour suffocation lundi à Douma, dans la Ghouta orientale assiégée. 

L'artillerie d'Ankara a pilonné lundi des positions de la milice kurde "Unités de protections du peuple" (YPG) au troisième jour de l'offensive sur l'enclave kurde syrienne d'Afrine.

Parti trois semaines en Syrie à l'automne 2013, Farid est poursuivi pour association de malfaiteurs terroriste. Mais l'enquête menée sur lui depuis n'a révélé aucun signe de radicalisation. 

"La Turquie a été franche", a déclaré le ministre américain de la Défense alors qu'Ankara a lancé une offensive contre une milice kurde dans le nord de la Syrie. 

Au moins onze civils ont été tués dimanche dans des frappes aériennes turques sur l'enclave kurde d'Afrine en Syrie.

Le président turc a affirmé dimanche que ceux qui manifesteraient publiquement à l'appel de milieux prokurdes paieraient "un prix très élevé".

En 48 heures, la Turquie a suscité l’inquiétude de la communauté internationale en lançant une vaste opération militaire contre une milice kurde en Syrie.

La ministre française des Armées a appelé Ankara à cesser son offensive contre les Kurdes syriens dans la région d'Afrine, dans le Nord de la Syrie.

"L'opération Rameau d'olivier se déroule comme prévu, l'offensive terrestre a commencé", a indiqué l'armée turque dans un communiqué dimanche.

Arrivée mardi de Turquie, la jeune femme a été mise en examen par un juge antiterroriste pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle".

Baptisée "Rameau d'olivier", l'opération, qui vise les Unités de protection du peuple (YPG), a débuté à 14H00 GMT. 

Les analystes estiment qu'aucune offensive majeure ne peut raisonnablement être lancée en Syrie sans l'accord de la Russie.

En quelques mois, environ 40 ressortissants français, accompagnés d'une vingtaine d'enfants, ont été arrêtés en zone irako-syrienne. La position de Paris sur leur sort reste floue.

Cette femme, partie en 2013 avec son mari, présumé mort, a été arrêtée avec trois enfants mineurs. 

Des familles de djihadistes français dénoncent par voie de justice la détention de ces derniers au Kurdistan syrien, une entité "n'ayant aucune existence légale", et où ils pourraient cependant être jugés.

La Turquie a vigoureusement réagi à l'annonce dimanche par les États-Unis de la création d'une "force frontalière", pour "empêcher la résurgence des djihadistes" du groupe État islamique.

Mounir Darwich, fondateur d'un groupe d'opposition au régime syrien, a été percuté devant son domicile par un véhicule qui a pris la fuite le 13 janvier à Damas. 

Dans la nuit de lundi à mardi, l'armée israélienne a opéré des bombardements à trois reprises en Syrie.

Dans le nord-ouest de la Syrie, les combats font rage entre le régime syrien et les djihadistes, en recul territorial. 

Encerclée par des djihadistes depuis le 31 décembre, la seule base militaire du régime syrien dans la Ghouta orientale a été libérée. 

L'explosion aurait pu être déclenchée par une voiture piégée, dans le quartier général de combattants djihadistes venus d'Asie centrale.

Des raids aériens du régime syrien ont fait au moins 17 morts parmi des civils samedi sur la Ghouta orientale, enclave rebelle bombardée quasi-quotidiennement.