Syrie

Mardi, au moins 106 personnes sont mortes dans de nouveaux bombardements sur la Ghouta orientale, a annoncé l'Observatoire syrien des droits de l'homme. 

Le ministre des Affaires étrangères a indiqué qu'il se rendrait dans les prochains jours à Moscou et Téhéran pour évoquer la situation en Syrie.

Depuis un mois, l'armée turque mène une offensive sur l'enclave d'Afrine pour y déloger une milice kurde.

Dernier fief rebelle proche de Damas, la Ghouta orientale est visée depuis dimanche par d'intenses bombardements du régime syrien, qui ont fait en à peine trois jours près de 200 morts.

Intitulé "Pertes humaines massives", le communiqué de l'Unicef joue sur le symbole de la feuille blanche pour décrire ce que l'institution ressent face au drame de la Ghouta orientale.

Quelques mois après trois de ses enfants, la Française et son plus jeune fils rentreront d'Irak dans les prochains jours. Elle dit regretter d'avoir rejoint Daech en 2015.

Les bombardements du régime syrien contre la Ghouta orientale se poursuivent à un rythme intensif, mardi. Plusieurs dizaines de civils ont déjà été tués.

Le président turc a annoncé mardi, lors d'un discours devant les députés de son parti, que les forces turques allaient assiéger l'enclave kurde d'Afrine.

Au moins 100 civils, dont 20 enfants, ont été tués dans des bombardements de la Ghouta orientale, lundi.

Depuis lundi, l'aviation syrienne bombarde violemment la Ghouta orientale, un fief rebelle, aux portes de Damas. La situation se dégrade rapidement, et plusieurs dizaines de civils ont été tués.

Selon le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, une centaine de djihadistes français sont détenus par les forces kurdes en Syrie.

Âgée de 17 ans, la jeune fille a écopé de cinq ans de prison pour appartenance à l'État islamique et un an supplémentaire pour avoir traversé illégalement la frontière. 

Ces frappes interviennent alors que les forces du régime semblent se préparer à un assaut terrestre contre l'enclave rebelle, située à l'est de la capitale.

Sans accuser Moscou directement, Jim Mattis a supposé que les hommes, probablement des mercenaires russes, ayant attaqué une position des alliés des États-Unis en Syrie avaient "reçu des ordres". 

L'OSDH a indiqué vendredi que six hommes avaient les "pupilles dilatées" et "des difficultés respiratoires" après une attaque dans la région syrienne d'Afrine.

Six hommes ont été hospitalisés pour des problèmes respiratoires après avoir réchappé d'un bombardement de leur village de l'enclave kurde d'Afrine. 

L'armée syrienne a découvert un charnier dans la province de Raqqa, désormais contrôlée par le régime de Bachar al-Assad, contenant 34 cadavres de civils et de militaires.

Une déclaration qui intervient au lendemain d'une mise en garde d'Emmanuel Macron.

Une dizaine de familles françaises sont détenues dans un camp de prisonniers djihadistes contrôlé par les Kurdes.

Pour Emmanuel Macron, "la ligne rouge" que constitue l'utilisation des armes chimiques par le régime de Damas reste valable. 

Le Premier ministre israélien s'est félicité de l'attaque d'une base "iranienne" en Syrie, d'où était parti plus tôt un drone qui avait pénétré l'espace aérien israélien.

Antonio Guterres a souligné samedi, dans un communiqué, que toutes les parties concernées en Syrie et dans la région devaient respecter le droit international.

L'État hébreu a mené samedi une série d'attaques aériennes en Syrie, frappant des cibles militaires syriennes mais aussi de l'Iran, allié indéfectible du régime de Damas.

D'après le ministère des Affaires étrangères, une centaine de djihadistes français ont été signalés, détenus, retenus ou simplement présents, en Syrie. 

Israël a lancé samedi une attaque d'envergure contre des cibles "iraniennes" en Syrie. L’Etat hébreu agit en représailles de l’intrusion, selon lui, d’un drone iranien dans son espace aérien.

L'Iran a défendu le droit "à la légitime défense" de la Syrie, qui a riposté samedi à des raids israéliens et abattu un avion de combat F16.

L'Iran, ennemi juré d'Israël, aide militairement le régime syrien de Bachar Al-Assad dans le conflit qui ravage la Syrie depuis 2011.

Les pilotes sont "sains et saufs" selon un porte-parole de l'armée israélienne. 

Les deux djihadistes faisaient partie d'un quatuor surnommé par leurs otages "les Beatles". Ils sont accusés d'être responsables de la détention et de la décapitation d'environ une vingtaine d'otages.

L'organisation Human Rights Watch a affirmé vendredi que les forces de sécurités kurdes irakiennes ont sommairement exécuté des prisonniers de Daech.