Syrie

Israël a bombardé un camp militaire prorégime de Bachar al-Assad, dimanche. 

Une étude israélienne a montré que le régime Assad était toujours en possession de "plusieurs tonnes" d'armes chimiques, ce que le président syrien dément.

Une partie de la soixantaine de bus transportant civils et combattants "ont repris le chemin" vers leur destination finale respective.

"Ce que nous savons, c'est qu'ils étaient déguisés en humanitaires", a affirmé un responsable de l'ONU jeudi à propos des auteurs de l'attentat qui a fait près de 130 morts samedi en Syrie.

Les deux convois d'une soixantaine de bus transportant des civils et des combattants sont à l'arrêt, en attendant la libération de prisonniers détenus par le régime.

Des prélèvements réalisés sur des victimes de l'attaque chimique présumée en Syrie début avril témoignent d'une exposition au gaz sarin ou à une substance similaire.

L'attaque au gaz sarin, attribuée au régime de Bachar al Assad par les puissances occidentales, a tué 87 civils. 

L'opération se déroulait mercredi sous haute surveillance, avec plusieurs dizaines de rebelles armés gardant les bus stationnés.

C'est la première fois qu'un dossier terroriste est examiné par une cour d'assises des mineurs spécialement constituée de magistrats professionnels.

Lors de cet échange, le président américain n'a émis aucune réserve quant au déroulement du référendum pourtant contesté par les observateurs internationaux.

Abd Alkader Habak, un photographe syrien, était sur place lors de l'attentat suicide qui a tué 126 personnes, dont 68 enfants, samedi en Syrie. Une scène insupportable, capturée en une image.

"Les responsables de ces crimes abjects devront rendre des comptes à la justice", réclame le ministère des Affaires étrangères.

Selon l'OSDH, au moins 68 enfants figurent parmi les victimes de l'attentat qui a visé des habitants évacués de localités loyalistes samedi. Le bilan s'est par ailleurs alourdi à 126 tués.

L'offensive piétine depuis plus d'un mois face à la résistance de l'Etat iskalmique. 

Sur les fronts coréen comme syrien, Bernard-Henri Lévy estime que "Trump se comporte plutôt bien depuis quelques jours".

Une voiture piégée a explosé près de bus qui transportaient 5.000 personnes évacuées la veille de localités pro-régime, rapporte l'OSDH.

Tabqa se trouve à environ 55 km à l'ouest de Raqqa, principal bastion de l'EI en Syrie.

Larguée dans l'est de l'Afghanistan par les Etats-Unis jeudi, elle est la plus puissante bombe non-nucléaire de l'arsenal américain.

Les déclarations tenues jeudi par le président Bachar al Assad sont un mensonge et relèvent de la propagande, a déclaré vendredi à Pékin Jean-Marc Ayrault.

En vertu d'un accord parrainé par le Qatar et l'Iran, plus de 30.000 personnes vivant dans quatre villes assiégées par les rebelles et les forces gouvernementales sont évacuées. 

Selon les évaluations préliminaires des experts, l'attaque chimique présumée menée le 4 avril à Khan Cheikhoun est "une allégation crédible".

Une frappe aérienne menée mardi par la coalition internationale et conduite par les États-Unis a tué par erreur 18 membres des Forces démocratiques syriennes, a annoncé jeudi le Pentagone.

Dans une interview exclusive donnée à l'AFP, le président syrien Bachar al-Assad est revenu sur l'attaque chimique de Khan Cheikhoun. 

En revanche, le président américain se souvient parfaitement quel gâteau il était en train de manger au moment où il a été averti des frappes.

Les Etats-Unis assurent avoir la preuve que l'attaque au gaz sarin en Syrie le 4 avril dernier, est bien l'oeuvre du régime de Bachar al-Assad.

"C'est certainement possible, c'est hautement improbable, et je sais qu'ils enquêtent à ce propos actuellement", a déclaré le président américain. 

Dans un contexte de tensions diplomatiques, les deux plus grandes puissances nucléaires se sont accordées mercredi pour approfondir le dialogue et mener des actions communes.

Le Conseil de sécurité doit voter une résolution condamnant l'attaque chimique d'une ville syrienne le 4 avril dernier. 

Les échanges entre le secrétaire d'Etat américain et le chef de la diplomatie russe, sur fond de regain de tensions, promettent d'être musclés. 

François Hollande est revenu dans une interview au Monde sur la politique qu'il a menée en Syrie, et notamment sur sa volonté d'intervention en 2013.