Une heure consacrée à un sujet d’actualité qui fait le buzz. Des polémistes et un invité sont en plateau pour débattre de l’actualité du jour et réagir aux questions des auditeurs.
Faut-il dépénaliser la prostitution comme le demande Amnesty international ?
L’organisation non gouvernementale Amnesty International a voté mardi en faveur de la défense de la dépénalisation de la prostitution, clients et proxénètes compris, malgré la controverse soulevée par cette initiative.
Le projet de résolution, qui appelle à la mise en place d'«un cadre légal dans lequel tous les éléments du travail du sexe seraient dépénalisés», a été adopté lors du Conseil international de l’ONG, qui a réuni à Dublin quelque 400 délégués, a annoncé Amnesty mardi en fin d’après-midi.
Pour en parler
- Morgane MERTEUIL - Porte-parole du STRASS (Syndicat du travail sexuel)
- Laurène QUESTIAUX - Chargée de mission des affaires juridiques du Mouvement du nid
A 10h40, « le coin des râleurs » : vous allez pouvoir réagir sur tout ce qui vous agace dans l'actualité et laisser vos coups de gueule sur notre répondeur au 39 21 (0.34€ la min)
A 10h45 - notre invité face à vos questions - Pourquoi les restaurants de sushis ne font-ils plus recettes ?
- Périco LÉGASSE - Journaliste et critique gastronomique, Rédacteur en chef à Marianne
Dans les années 2000, la cuisine japonaise a bénéficié d’un engouement spectaculaire. Sain, diététique, original, le sushi a conquis la France, en commençant par séduire la bourgeoisie parisienne. Les points de vente se sont multipliés, des restaurants chinois se sont mis à proposer eux aussi sushis et sashimis et plus récemment, des centaines de stands de cuisine nippone se sont retrouvés dans les grandes surfaces telles que Carrefour, Auchan ou Leclerc. Plus d’offre, moins de demande : Les restaurants de sushis se retrouvent victimes de leur succès.