Chruchill fait mourir de rire les Britanniques : son profil incarne les nouveaux billets "indestructibles".
À la Une de la presse internationale, Géraldine, une figure historique... en plastique !
Le nouveau jouet des britanniques, fascinés ce matin par leur nouveau billet de cinq livres, qui est entré en circulation hier, et qui leur promet du sang, de la peine, des larmes , et de la sueur.
Churchill ?
Bravo, exactement : Winston Churchill y figure, au-dessus de cette phrase célèbre prononcée en 1940 lors de son premier discours devant la Chambre des Communes. Mais la vraie nouveauté, c’est que ce billet est en plastique. En polymère, exactement, une substance qui remplace la pâte de chiffon de coton des anciens billets britanniques. Nos propres billets sont encore faits de ce matériau. Le plastique rend le billet infiniment plus solide selon la banque d’Angleterre, qui a imprimé, 440 millions de ces nouvelles coupures quasiment infroissables et qui auraient une durée de vie deux fois et demi supérieure aux anciens billets. C'est ce qui inspire justement les Britanniques. C’est pour cela que je vous en parle, cela m'a fait rire. ils n'en finissent plus depuis 24 heures d’échanger leurs expériences sur les réseaux sociaux et dans la presse.
Ils font fondre les billets ?
C’est à peu près cela. Vous apprendrez qu’on peut plonger ce billet dans le vin rouge, ou le whisky que Churchill aimait temps sans qu’il soit altéré. Ils résistent au cycle maximum de la machine à laver. On les a mêmes passés au four : les billets ne commencent à fondre que soumis à une température de plus de 120 degrés. Leur défaut le plus notable, c'est qu’ils ne résistent pas au repassage. Des journaux ont testé pour conclure que finalement l’investissement valait le coût. Un gros investissement, figurez-vous : non seulement les billets sont plus chers à produire, mais comme ils sont un peu plus petits, plus étroits, que les anciens modèles, il a fallut adapter à ces nouveaux billets l,ensemble des distributeurs d,argent du pays. La facture de 280 millions d’euros devrait quand même être amortie. Ces billets sont plus écolos puisqu’ils durent plus longtemps, consomment moins d’énergie à la fabrication et devraient éviter une foule de tragédies personnelles. 22 000 billets chaque années, sont déchirés, mâchouillés, amalgamés en boule dans la machine à lavée. Statistique étonnante, c’est peut-être pour cela que 30 pays déjà ont adopté ce billet en plastique.