Chaque matin, Samuel Etienne revient sur ce qui fait la Une des quotidiens nationaux.
"La vie de CRS, c'est l'enfer ! "
C’est le dossier du dernier numéro de Paris-Match. Il y a cette photo d'un CRS dans une boule de feu, après avoir été frappé d'un cocktail molotov, le 15 septembre à Paris, lors de la manifestation anti-loi Travail.
Il y a ce témoignage aussi, assez poignant, d'un CRS qui démontre sa tristesse : "Le lendemain de Charlie, dans la rue, les gens nous félicitaient, Bravo les gars, c'est bien ce que vous faites, merci d'être là. Nous étions des héros, nous nous sentions fiers et utiles".
Là, tu te dis qu'une partie de la population avait enfin compris, "qu'on servait à quelque chose".
Mais ça n'a pas duré. Aujourd'hui, les anti-flics ont repris du service, avec leur haine et notamment les manifs. Un an et demi après Charlie, le slogan "Tout le monde déteste la police" est devenu un classique des manifs.
Les dérapages des CRS sont pointés du doigt. Eux rappellent que dans ce climat sécuritaire, ils sont en première ligne et que depuis six mois, 620 policiers et gendarmes ont été blessés.
Face au fait religieux, comment s'en tirent les entreprises ?
Plutôt bien, constatent ce matin Le Parisien-Aujourd’hui en France, enquête à l'appui.
L'étude montre que 65% des salariés sont désormais confrontés à l'irruption de la sphère religieuse dans l'entreprise, soit 15 points de plus que l'an passé.
Un voile, une croix ou une kippa qui débarquent au bureau, une pile de demandes de RTT pour l'Aïd ou le lundi de Pentecôte, un refus de travailler avec des salariées femmes ou encore des prières dans les vestiaires.
Et globalement, ça se passe bien.
Il n'y a que dans 9% des cas que le fait religieux est considéré comme conflictuel. Tout se règle au cas par cas, dans le dialogue, en souplesse.
Le constat du Parisien est que l'entreprise, cette communauté humaine à échelle réduite, semble plus douée que la République pour réguler la cohabitation des religions.
Un PSG qui ne domine pas outrageusement le championnat de Ligue 1.
Voilà qui fait souffler un petit vent de fraîcheur sur le foot français.
Jérôme Lacroix nous en parlé ce matin dans le Journal des sports, Nice créé la sensation de ce début de saison, avec encore une victoire 4 à 0 hier soir contre Monaco.
Un joueur surtout, attire tous les regards, il s’agit de Mario Balotelli qui est arrivé à Nice en toute fin de mercato, après deux saisons d'errance à Liverpool et l'AC Milan pour l'ex-grand espoir du football italien.
En Une de L'Équipe, Balotelli fait une révérence au public niçois. "Avec les compliments de Super Mario", titre le journal sportif.