birmanie

Les combats qui opposent des rebelles musulmans rohingyas et l'armée birmane ont fait au moins 400 morts en une semaine.

Ces violences ont entraîné un nouvel exode de la minorité musulmane.

Considérés comme des étrangers au sein de la Birmanie, les Rohingyas, minorité musulman, fuient le pays alors que des combats sont en cours entre l'armée et des rebelles.

Il s'agit de l'épisode de violences le plus meurtrier depuis plusieurs mois dans cette région, l'État Rakhine, marqué par de fortes tensions entre musulmans et bouddhistes.

Désormais adulte, le jeune homme risque jusqu'à deux ans de prison pour avoir raconté dans une interview comment l'armée l'avait enlevé à l'âge de 14 ans.

Outre les vingt millions de comprimés de méthamphétamine, plus de 600.000 cachets d'ecstasy ont également été saisis dans ces maisons.

Les corps de trois hommes et de trois femmes ont été découverts avec des blessures par balles et à l'arme blanche, ils seraient tombés sur un camp d'insurgés rohingyas.

Afin de montrer leur détermination à lutter contre le trafic de drogue, la Thaïlande et la Birmanie ont brûlé pour près d'un milliard d'euros de stupéfiants.

L'appareil s'était abîmé en mer avec 122 personnes à bord, début juin. 

26 corps ont été repêchés en mer dimanche, portant à 59 le nombre de victimes retrouvées après le crash d'un avion militaire birman mercredi.

"Nous avons retrouvé des morceaux de l'avion qui avait disparu et des corps, en pleine mer", a annoncé le chef de l'armée birmane, mercredi.

Le contact avec l'avion a été perdu alors qu'il survolait la région de Dawei, en bord de mer d'Andaman.

Selon les estimations, il ne resterait plus que 1.400 à 3.000 éléphants en Birmanie, pays où la chasse aux animaux en voie d'extinction est illégale mais peu pénalisée.

Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés a décidé de lancer un "serious game", pour mettre en lumière un peuple oppressé. 

Au moins vingt personne ont perdu la vie suite à une collision de nuit entre un bateau de transport de passagers et un cargo, dans l'est de la Birmanie.

Il y a "beaucoup d'hostilité" dans cette province de l'ouest du pays, où vit plus d'un million de Rohingyas, mais "ce sont aussi des musulmans qui tuent d'autres musulmans", a assuré la dirigeante birmane dans un entretien à la BBC.

L'ancienne dissidente arrivée au pouvoir il y a un an, a refusé la mission d'enquête des Nations Unies sur les récentes exactions contre la minorité musulmane, imputées à l'armée birmane.

De violents combats, qui ont opposé les rebelles d'un groupe ethnique et les forces de sécurité birmanes, ont fait au moins 30 morts, dont des civils, lundi dans le nord-est du pays.

En Birmanie, un moine bouddhiste cachait plus de 4 millions de comprimés de méthamphétamine dans son monastère.

L'avocat musulman était connu pour dénoncer l'intolérance religieuse et les persécutions subies par la minorité musulmane dans ce pays à majorité bouddhiste.

Dans une lettre adressée au Conseil de sécurité, ils dénoncent les exactions dont sont victimes les Rohingyas, minorité apatride et persécutée en Birmanie.

Les Rohingyas - communauté musulmane et apatride - racontent avoir subi des atrocités en Birmanie.

Pour l'armée birmane, il s'agit de "terroristes" musulmans coupables d'avoir incendié des villages. 

Les Etats-Unis ont rétabli les aides tarifaires pour la Birmanie et se disent prêts à lever l'ensemble des sanctions imposées au pays lors du règne de la junte.

Depuis un an, la junte militaire au pouvoir à Bangkok veille à faire cesser le commerce très lucratif des migrants. 

De nombreuses pagodes de Bagan - que la Birmanie souhaitaient voir inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco - ont été partiellement détruites par le séisme.

La secousse a été ressentie jusque dans les capitales voisines de Bangkok et de Calcutta. 

L'ex-opposante birmane est en visite en Chine, pays qui a soutenu le maintien au pouvoir de la junte birmane, à l'origine de sa détention.

Pour les autorités birmanes, il pourrait s'agir "d'une forte grippe ou de cas de rougeole". Des analyses sont en cours. 

Cet Espagnol, qui portait un short, a laissé apparaître un tatouage qu'il portait à la jambe. Des moines l'ont alors dénoncé aux autorités.