Syrie

Un Américain et un Britannique de la coalition internationale ont été tués par l'explosion d'un engin artisanal en Syrie tandis que cinq autres soldats ont été blessés jeudi.

Les Kurdes, reçus à l'Elysée par Emmanuel Macron, avaient déclaré que la France allait envoyer des troupes en Syrie. Une information démentie par l'Elysée.

"On va rentrer au pays, chez nous, où nous voulons être" a déclaré le chef de l'Etat américain, sans donner plus de détails. 

A l'issue d'une rencontre avec Emmanuel Macron à l'Elysée jeudi, des représentants kurdes ont affirmé que la France allait envoyer des forces spéciales à Minbej. 

Dans une lettre ouverte au président, une centaine de personnalités en appellent à l'action de l'exécutif pour faire arrêter le viol comme arme de guerre en Syrie. 

Cent bus transportant quelque 6.749 personnes dont le quart d'entre-elles sont des rebelles ont quitté dans la nuit de lundi à mardi une poche de l'enclave rebelle.

Samir Mohammed Massoud s'entraînait avec ses coéquipiers lorsque des tirs de roquettes "sont partis d'une zone rebelle dans la Ghouta orientale", selon l'agence officielle du régime.

"Dix-sept bus transportant 981 personnes, y compris des combattants et des membres de leurs familles, ont quitté la ville d'Arbine.

Lors d'un entretien téléphonique avec son homologue turc, Emmanuel Macron a rappelé la nécessité de permettre "le plein accès de l'aide humanitaire aux populations civiles".

Selon la télévision d'État, ce chiffre correspond aux civils ayant emprunté les couloirs humanitaires mis en place par les autorités.

L'Observatoire syrien des droits de l'Homme a accusé la Russie d'avoir bombardé le bastion rebelle de la Ghouta orientale à l'aide de bombes incendiaires. 

"La plupart des victimes sont des femmes et des enfants" ont indiqué sur Twitter les secouristes des Casques blancs, qui dénoncent un "horrible massacre".

Un convoi de plus de 400 combattants et des centaines de civils sont arrivés dans la province d'Idleb après avoir quitté l'une des poches rebelles de la Ghouta orientale.

Cette annonce intervient alors que des raids aériens ont provoqué la mort d'au moins 38 civils, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.

Les frappes sur la seule localité de Zamalka ont tué seize civils. Trois autres sont morts sur la localité d'Arbine.

Le représentant de l'ONU en Syrie a dénoncé la situation humanitaire des civils fuyant l'enclave rebelle, prise d'assaut par le régime syrien. 

La chancelière allemande a condamné "de la manière la plus ferme" l'offensive turque dans l'enclave kurde d'Afrine, en Syrie.

Bien que cela ne soit pas un mystère, c'est la première fois qu'Israël reconnaît officiellement son bombardement sur un site syrien en 2007 pour détruire un présumé réacteur nucléaire.

De l'aide humanitaire a pu être livrée mardi dans une localité proche d'Afrine, où des milliers de civils ont fui les combats. 

Au moins 35 personnes ont été tuées mardi dans un tir de roquette rebelle sur la banlieue de Damas, tandis que 29 civils ont péri dans la Ghouta voisine dans des bombardements. 

15 enfants et deux femmes ont été tués lundi dans un raid aérien sur une école à Arbine, dans la Ghouta orientale, où ils s'étaient mis à l'abri des bombardements.

Le président turc a affirmé lundi que son pays allait étendre son offensive militaire dans le nord de la Syrie, et peut-être même intervenir en Irak. 

Depuis dimanche soir, 20 civils ont été tués à Douma, la plus grande ville de la Ghouta orientale. Les bombardements du régime de Damas continuent.

Le président français a tenu également à exprimer au président russe réélu sa "grande préoccupation" au sujet d'Afrine et de la Ghouta orientale. 

A Afrine, l'occident abandonne les Kurdes, leurs alliés, en laissant les Turcs prendre du pouvoir en Syrie, s'insurge Vincent Hervouet.

Didier François revient chaque matin sur un évènement international au micro d'Europe 1 Bonjour.

Pour la première fois depuis des années, le président syrien Bachar al-Assad s'est rendu dimanche auprès des troupes en action dans la Ghouta orientale.

Le président turc a annoncé que des combattants syriens soutenus par Ankara avaient pris le contrôle "total" d'une partie du bastion kurde, dans le nord-ouest de la Syrie.

La ville d'Afrine était encerclée depuis plusieurs jours par les forces turques et des rebelles syriens qui mènent ici, depuis le 20 janvier, une offensive contre une milice kurde syrienne.

Les rebelles ne tiennent plus qu'une poignée de localités, alors que les forces pro-régime continuent leur avancée.