Avant la Révolution, quand une personne meurt, la loi exige qu’elle soit enterrée dans les 24 heures, contre six jours aujourd’hui. Pour recevoir un hommage digne de ce nom une fois la mort venue, les vivants doivent tout régler d'avance à l’Eglise, qui fait elle-même fabriquer les cercueils. Mais même dans la mort, les riches et les pauvres ne sont pas à égalité… De la veillée funèbre à la période de deuil en passant par l’enterrement et le cortège funéraire, retour sur les rituels de deuil sous l’Ancien Régime.
Le deuil sous l’Ancien Régime
Avant la Révolution, quand une personne meurt, la loi exige qu’elle soit enterrée dans les 24 heures, contre six jours aujourd’hui. Pour recevoir un hommage digne de ce nom une fois la mort venue, les vivants doivent tout régler d'avance à l’Eglise, qui fait elle-même fabriquer les cercueils. Mais même dans la mort, les riches et les pauvres ne sont pas à égalité… De la veillée funèbre à la période de deuil en passant par l’enterrement et le cortège funéraire, retour sur les rituels de deuil sous l’Ancien Régime.