Chaque matin, Samuel Etienne revient sur ce qui fait la Une des quotidiens nationaux.
Elle est à la Une du Figaro, la colère des policiers.
Ce "vent de colère dans la police", pour dénoncer les violences dont ils sont victimes et les insuffisances de la réponse pénale.
Yves Thréard nous rappelle que l'insécurité fut au cœur de la présidentielle de 2002, celle qui a vu Jean-Marie Le Pen se qualifier au second tour.
Notre éditorialiste constate que 15 ans après, l'insécurité pourrit la vie de toujours plus de quartiers, que les milliards d'euros dépensés pour la rénovation urbaine des cités n'ont pas empêché le trafic de drogue de se propager, les zones de non-droit de prospérer et le système scolaire de se déliter.
Yves Thréard renvoit la gauche et la droite dos à dos.
La droite qui, si elle veut gagner la présidentielle, doit selon lui relever son niveau d'exigence pour restaurer l'autorité perdue de l'État.
Le visage de Flavie Flament en Une du Parisien-Aujourd’hui en France.
En racontant avoir été violée à 13 ans par un célèbre photographe, l'animatrice veut relancer le débat sur la prescription des crimes sexuels sur mineurs.
Un célèbre photographe dont elle ne veut pas prononcer le nom, car le crime est prescrit, elle craint donc d'être attaquée en diffamation.
Flavie Flament parle d'une injustice folle, d'une double peine.
Alors, qui est ce célèbre photographe ?
Avec prudence, Le Parisien avance un nom, celui du Britannique David Hamilton, aujourd'hui âgé de 83 ans.
Constatant que son nom circule depuis dimanche sur les réseaux sociaux et surtout que l'animatrice apparait en photo dans l'un de ses livres, alors qu'elle était âgée de 13 ans.
Et puis d'enfance il est encore question dans La Croix.
Nous vous invitons à lire cet intéressant dossier sur la dépression qui touche aussi les enfants, 2 à 3% des enfants en France.
Un phénomène méconnu, sur lequel peu de chercheurs se sont penchés mais cela est en train de changer.
Comment un enfant peut-il sombrer, lui aussi, dans le mal-être ?
Un pédopsychiatre explique : l'enfant est comme une éponge, il absorbe tous les messages, toutes les émotions, même quand elles ne sont pas verbales.
Des pressions sociales, scolaires, familiales, peut lui rendre la vie impossible.