Le procès des viols de Mazan est celui "de la lâcheté", a accusé mardi Gisèle Pelicot, la victime principale de ce dossier hors norme, estimant qu'il était temps que la société "change de regard" sur le viol. "Pour moi, ce procès sera le procès de la lâcheté. Il est grand temps que la société machiste, patriarcale, qui banalise le viol, change. Il est temps qu'on change le regard sur le viol", a insisté la septuagénaire, victime de viols répétés, pendant une décennie, par son mari, qui la droguait, et des dizaines d'inconnus qu'il recrutait sur internet.
>> Plus d'informations à suivre