Le "Blitz Tour" d'Etienne Daho s'arrête à Paris pour cinq soirs à partir de mardi. Et plus précisément à l'Olympia, cette salle mythique avec lequel le chanteur noue une relation toute particulière, comme il l'a expliqué à Nikos Aliagas mardi matin.
"C'est comme un rite pour moi". "C'est une salle que j'adore, même si elle a changé (...) C'est dans cette salle que j'ai vu mon premier concert, enfant. C'était Petula Clark et ça m'avait beaucoup frappé", se souvient le Breton. "Quand j'ai fait mon premier concert à Paris, en 1985, c'est à l'Olympia que j'ai joué. Depuis, je suis revenu à l'Olympia à chaque tournée. C'est comme un rite pour moi", poursuit-il.
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"Je ne suis pas nostalgique du tout". Le chanteur pop a également expliqué pourquoi il lui était important de sortir, le 14 décembre, un 45-tours avec deux titres. "Je ne suis pas un nostalgique, du tout, mais le vinyle est un support que les gens aiment beaucoup. Ça permet d'avoir une vraie relation physique, charnelle, avec l'objet et la musique", justifie-t-il. "Il y a beaucoup de gens très jeunes qui achètent des vinyles, le marché est en pleine expansion et c'est plutôt rassurant", a conclu Etienne Daho.