Valérie Benaïm, la chroniqueuse historique de Touche pas à mon poste sur C8, était sur Europe 1 lundi pour évoquer l'émission qu'elle anime sur C8, C'est que de la télé, ainsi que la sortie de son livre, Kiffeuse en série, sorti en octobre dernier. Dans celui-ci, elle révèle que sa vie "n'a cessé d'être cadencée par les taux d'audience, une notoriété fluctuante et un rythme de travail effréné". Et niveau audiences, elle précise que sa nouvelle émission, C'est que de la télé, "fonctionne très bien".
Des sujets graves et d'autres plus légers
"Je suis très contente, on a gagné 5% en téléspectateurs (en une saison, ndlr). On a pris un point sur quasiment toutes les cibles", détaille la chroniqueuse. Son émission, diffusée de 17h45 à 18h30 et produite par Cyril Hanouna, est moins festive, moins potache que Touche pas à mon poste même si elle se voulait être, à la base, une déclinaison de l'émission phare de C8.
La semaine passée par exemple, l'émission s'est ouvert avec un premier sujet consacré au livre de douze femmes lancées dans de vastes batailles, judiciaires ou contre des maladies. Le deuxième sujet, lui, s'attardait sur le casse-tête des places d'hébergement du Samu social.
Le téléspectateur cinquième chroniqueur
"Ce sont des sujets 'concernants'. Il faut les démocratiser et en parler, peu importe l'horaire. Je considère une émission comme une partition de musique, il y a des notes un peu plus graves et d'autres plus légères et il s'agit de faire une jolie mélodie", dit Valérie Benaïm.
Il y a en effet des notes plus légères, comme ce sondage proposé aux téléspectateurs : "est-ce que vous adorez ou détestez votre prénom ?" L'émission a d'ailleurs souvent recours aux sondages. Il y a quatre chroniqueurs, et le téléspectateur est le cinquième, selon la promesse du programme.