Iran

Selon une agence proche des réformateurs, de nombreuses violences ont encore eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche. 

Depuis jeudi, des Iraniens manifestent en nombre dans plusieurs villes du pays, y compris à Téhéran, contre la vie chère et le président Rohani.

Ce séisme, dont l'épicentre a été enregistré à environ 40 km de la capitale Téhéran, a causé la mort d'une femme et d'une fillette.

Les écoles de Téhéran sont fermées à cause d'une haute concentration en particules fines de la capitale iranienne.

Le séisme de magnitude 6,2 qui a frappé la région de Kerman n'a fait "aucune victime ni aucun dommage".

Dans une zone de forte activité sismique, un tremblement de terre a engendré lundi après-midi des secousses d'une magnitude de 6,0. 

Le ministre britannique des Affaires étrangères doit rencontrer son homologue iranien pour évoquer, notamment, le sort d'une Irano-britannique détenue depuis 2016 en Iran.

Un séisme de magnitude 6 suivi dans autre de 5 sur l'échelle de Richter a secoué l'est de l'Iran vendredi matin, sans faire de victimes.

Le bilan du séisme en Iran du 12 novembre, revu à la hausse, fait état désormais de 483 morts et plus de 12.000 blessés.

Dans un entretien au "New York Times", le prince saoudien Mohammed ben Salmane a qualifié l'ayatollah iranien de "nouveau Hitler" du Moyen-Orient.

Le président iranien a répondu à son homologue français, quelques jours après les inquiétudes exprimées par la France sur les "tentations hégémoniques" de Téhéran. 

Le mouvement islamiste chiite a placé au fil des années ses pions au sein du gouvernement libanais, développé ses propres milices, et pris le contrôle de nombreux quartiers au point de devenir un État dans l'État. 

Le chef de la diplomatie de Bahreïn a accusé dimanche l'Iran de contrôler le Liban via "le Hezbollah terroriste".

Emmanuel Macron a déclaré vendredi que la politique balistique iranienne "apparaît comme non maîtrisée".

Emmanuel Macron a assuré vendredi qu'il accueillerait Saad Hariri samedi à l'Élysée en tant que Premier ministre libanais, alors que celui-ci a démissionné de ses fonctions.

Dans un discours-vidéo, le Premier ministre israélien a proposé une assistance médicale à la Croix-Rouge pour venir en aide aux victimes irakiennes et iraniennes du séisme qui a frappé la frontière entre les deux pays lundi.

Emmanuel Macron reçoit mardi le ministre libanais des Affaires étrangères, alors que le chef du gouvernement, Saad Hariri, est toujours en Arabie saoudite d'où il a annoncé sa démission surprise.

Ce séisme, dont l'épicentre a été enregistré dimanche en Irak, a surtout été meurtrier en Iran où il a fait plus de 400 morts et plus de 7.000 blessés.

Après l'incendie d'un de ses pipelines survenu samedi, Bahreïn a accusé Téhéran d'un "grave acte terroriste". 

Ces nouvelles frappes interviennent alors que les tensions se multiplient entre l'Arabie saoudite et son rival iranien.

Cette visite inattendue intervenait jeudi soir dans un contexte de tensions entre l'Iran et l'Arabie saoudite, sur fond de rivalités autour du conflit au Yémen. 

Dans une décision impromptue, Emmanuel Macron se rend jeudi soir en Arabie saoudite, où il va tenter de jouer la carte de la diplomatie pour apaiser les tensions avec l’Iran.

Dans un entretien au magazine "Time", Emmanuel Macron raconte avoir tenté de convaincre Donald Trump de continuer à soutenir l'accord nucléaire en octobre.

La démission surprise du Premier ministre libanais Saad Hariri annoncée samedi, fait craindre que le Liban, pays aux équilibres fragiles, ne plonge dans de nouvelles violences.

Comme tous les ans, des manifestants ont scandé les slogans "Mort à l'Amérique", "Mort à Israël" et brûlé des drapeaux américains.

Au terme d'une visite à Téhéran, le directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano a confirmé que l'Iran respecte ses engagements sur le nucléaire.

"Maintenant que le combat contre l'Etat islamique touche à sa fin, ces milices doivent rentrer chez elles", a déclaré le secrétaire d'Etat américain dimanche.

Il y a trois jours, le président américain a annoncé qu'il refuser de certifier le fait que Téhéran respecte ses engagements. 

Après la volte-face du président Trump, l'Iran estime que les Etats-Unis ont violé trois articles de l'accord sur le nucléaire. 

Le pouvoir de rétablir les sanctions à l'encontre de l'Iran appartient désormais au Congrès et non au président américain.