La hausse de 15 milliards d'euros de la dette de la France liée à l'aide à la Grèce ne provoquera pas d'austérité, déclare le ministre des Finances François Baroin, dans un entretien au Monde publié samedi. Ces 15 milliards prévus d'ici 2014 n'auront qu'un impact comptable sur la dette, et aucun sur le déficit, souligne-t-il, et cette dette sera émise par le FESF et non par la France.