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Semaine de l'épargne salariale : quand les petites entreprises entrent dans la danse

Baptiste Morin
Semaine de l'épargne salariale : les petites entreprises entrent dans la danse
Semaine de l'épargne salariale : les petites entreprises entrent dans la danse © Max PPP

Du 24 au 28 mars, c’est la semaine de l’épargne salariale. Et pour l’occasion, Europe 1 se penche chaque jour sur le sujet. Dans ce dernier épisode, Europe 1 se place du côté des entreprises, notamment des plus petites.

Depuis le 1er janvier, les entreprises de 11 à 49 salariés doivent s’équiper, elles aussi, d’un dispositif d’épargne salariale, réservé à toutes celles qui en ont la capacité. Quelque 180.000 entreprises sont concernées, ce qui représente tout de même 1,5 million de salariés.

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Une bonne nouvelle pour ces derniers qui bénéficieront de la prime de partage de la valeur, de la participation et parfois de l’intéressement. Mais c’est aussi une opportunité pour ces entreprises. 

Un levier de fidélisation, voire d’attractivité

L’intérêt de l’épargne salariale pour une entreprise est fiscal. Les versements sur les Plans épargne entreprise (PEE) sont exonérés de cotisations sociales et déductibles du bénéfice imposable de l’entreprise. Mais il y a aussi un intérêt pour fidéliser les salariés, leur donner envie de rester dans l’entreprise, et également pour les motiver.

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Si les salariés s’engagent dans leur travail, leur entreprise performera et donc ils toucheront les fruits de cette performance. C'est aussi un argument de poids pour recruter. Une petite entreprise peut désormais faire valoir à l’embauche les dispositifs d'épargne salariale qu'elle prévoit pour ses salariés.