Ségolène Royal a accepté de devenir débatteuse sur la chaîne info du groupe TF1. La candidate à la présidentielle 2007 interviendra de manière régulière sur LCI dans l’émission "En toute franchise", diffusée tous les dimanches à 18 heures. 60% des Français estiment que les médias ont trop parlé de la pandémie ces derniers mois. 10% trouvent au contraire qu’ils n’en ont pas assez parlé. Entre les deux, seuls 25% des personnes interrogées ont trouvé la couverture de la situation sanitaire équilibrée. Michel Drucker a été opéré du cœur ce samedi dans un hôpital de la capitale, après avoir passé une semaine dans l’établissement. Le quotidien révèle que Michel Drucker a rencontré des problèmes d’essoufflement cet été. La nouvelle émission de Laurent Ruquier sur France 2 intitulée "On est en direct" a été suivie par environ 800.000 téléspectateurs ce samedi soir.
L’arrivée sur LCI d’une ancienne candidate à la présidentielle.
Elle l’a annoncé ce week-end au JDD, Ségolène Royal a accepté de devenir débatteuse sur la chaîne info du groupe TF1. La candidate à la présidentielle 2007 interviendra de manière régulière sur LCI dans l’émission "En toute franchise", diffusée tous les dimanches à 18 heures. C’est la journaliste Amélie Carrouer qui anime cette émission. Elle interroge dans un premier temps un invité politique, puis mène un débat entre deux personnalités. Ségolène Royal a fait ses premiers pas dans l’émission dès ce dimanche. Elle a rejoint une équipe de commentateurs qui inclut notamment Luc Ferry ou Daniel Cohn-Bendit. L’ancienne ambassadrice des pôles a expliqué au JDD ce qui l’avait poussée à accepter la proposition : "Je trouve intéressant, au vu des questions qui traversent notre société, de participer à un moment de débat intellectuel de fond".
Elle avait été démise de ses fonctions justement suite à ses prises de position, non ?
Oui, c’était en janvier dernier. Il faut dire que Ségolène Royal s’était montrée très critique à l’encontre du gouvernement, sortant du devoir de réserve qu’imposait sa fonction. À l’époque, elle avait commenté sur Twitter : "Je prends acte de mon limogeage car je choisis ma liberté de parole". Elle va donc pouvoir exercer cette liberté de parole sur LCI.
Les médias ont-ils mal géré la couverture de la pandémie de Covid ?
C’est en tout cas ce que pensent une majorité de Français, si l’on en croit une étude réalisée par ViaVoice pour les Assises du journalisme de Tours et plusieurs titres dont "Le JDD". Elle a été publiée ce week-end et elle n’est pas tendre avec les médias. 60% des Français estiment qu’ils ont trop parlé de la pandémie ces derniers mois. 10% trouvent au contraire qu’ils n’en ont pas assez parlé. Entre les deux, seuls 25% des personnes interrogées ont trouvé la couverture de la situation sanitaire équilibrée. Par ailleurs, 43% des Français estiment que les médias ont alimenté la peur vis-à-vis de la pandémie et 32% qu’ils l’ont exploitée pour faire de l’audience. En ce qui concerne la teneur des informations relayées par les médias, les Français trouvent à 50% qu'elle était "anxiogène", à 45% "excessive" et à 28% carrément "catastrophiste".
TikTok a été sauvé in extremis aux États-Unis cette nuit.
L’application de vidéos courtes, très populaire auprès des jeunes, aurait dû être interdite de téléchargement ce dimanche suite à un décret présidentiel, mais un juge de Washington a suspendu son application. Il a souligné lors de l’audience l’aspect "irrationnel" du décret et estimé que l’interdiction serait "sans précédent". TikTok n’est pas pour autant sauvé, c’est le décret en tant que tel qui a été suspendu, pas l’interdiction de télécharger l’application aux États-Unis. Elle reste pour l’heure fixée au 12 novembre prochain. D’ici-là, les propriétaires chinois de TikTok pourront avancer avec le géant du logiciel Oracle et le géant de la distribution Walmart. Les trois parties travaillent à la création d’une entité américaine pour gérer les activités de TikTok aux États-Unis.
Ce lundi, "Femme actuelle" fait sa rentrée avec une nouvelle formule.
La fin de l’été rime avec nouveauté pour l’hebdomadaire féminin. "Femme actuelle", c’est la première marque média féminine en France. Si on ajoute la presse et le numérique, c’est 25 millions de lecteurs et d’internautes par mois. Louise Bernard est allée demander à son rédacteur en chef, Julien Lamury, pourquoi il était nécessaire de donner un coup de jeune au magazine. Julien Lamury le dit clairement, le digital prend évidemment de plus en plus d’importance, depuis de nombreuses années. Cette nouvelle formule de "Femme actuelle", c’est donc une évolution dans la forme, avec une nouvelle maquette pour le magazine papier, mais aussi dans le fond, pour continuer à être proche des femmes 35 ans après le lancement du magazine.
La rentrée de Michel Drucker a été repoussée.
On l’a appris ce dimanche dans "Le Parisien", l’animateur a été opéré du cœur ce samedi dans un hôpital de la capitale, après avoir passé une semaine dans l’établissement. Le quotidien révèle que Michel Drucker a rencontré des problèmes d’essoufflement cet été, pendant ses vacances. Il a subi des tests et ce sont ces tests qui ont révélé la nécessité de l’opération. Aucun rapport avec le Covid-19 puisqu’il s’agissait de déboucher ses artères coronaires, chargées d’irriguer son cœur, afin d’éviter tout risque de crise cardiaque.
On sait comment il va ?
Delphine Ernotte, la patronne de France Télévisions, a indiqué au "Parisien" que l’intervention s’était bien déroulée : "Il est combatif et le moral est bon. Ça va être un choc pour son public, mais il tient à rassurer tout le monde". Mais évidemment, il va lui falloir du temps pour se remettre sur pied, d’où la nécessité de décaler sa rentrée. Le premier numéro de "Vivement dimanche" devait être enregistré ce vendredi pour une diffusion le 18 octobre. Cet enregistrement a évidemment été annulé.
On sait quand il reviendra ?
Pour l’instant, à priori, personne ne le sait. Pendant son absence, France 2 a annoncé qu’elle allait proposer des rediffusions de "Vivement dimanche". La chaîne dispose de plus de 700 émissions en stock, il y a donc de quoi faire. Et Michel Drucker pourra prendre aussi longtemps que nécessaire pour sa convalescence.
On reste sur France 2 pour parler du retour de Laurent Ruquier, c’était samedi soir à 23h30.
Fini le générique "In the Shadows" des Rasmus. Samedi, l’animateur était aux commandes du premier numéro de son nouveau magazine, qui a la lourde tâche de succéder à "On n’est pas couché". Après quinze saisons, le talk-show produit par Catherine Barma avait perdu de sa superbe, et vu ses audiences s’éroder très nettement. Pour la première, Laurent Ruquier a interviewé en tête à tête le Garde des Sceaux, Eric Dupont-Moretti, puis Jean-Marc Généreux, parlé théâtre avec Bernard Campan et Isabelle Carré ou encore reçu Catherine Ringer pour un hommage à Juliette Greco. L’animateur avait aussi organisé un débat sur la liberté d’expression avec quatre dessinateurs, au lendemain de l’attentat près des anciens locaux de Charlie Hebdo.
Et niveau audiences, qu’est-ce que ça a donné ?
Ça n’a pas mal fonctionné. Au compteur, un peu plus de 800.000 téléspectateurs, pour 13,3% de part d’audience, c’est un score encourageant. Pour mettre un peu tout ça en perspective, on est loin de la grande époque de "On n’est pas couché", où l’émission dépassait les 20% de part d’audience. Mais à l’exception de la toute dernière émission, où il y avait eu un vrai effet de curiosité et le retour de Léa Salamé ou encore Jonathan Lambert, "On est en direct" fait mieux que la fin de saison assez triste de "On n’est pas couché". Pour rappel, fin juin, l’émission avait chuté à 550.000 téléspectateurs et moins de 8% de part d’audience.