Petit chat est mort

Munich, 1971. Le protagoniste de cette histoire s’appelle Armin. Très sportif mais également doté d’une intelligence rare et passionné par la philosophie. Une passion qui l’a absorbé si loin et profondément dans les méandres de la réflexion, qu’un drame va se produire. Armin est en réalité probablement schizophrène et les cahots de sa vie d’étudiant vont le conduire à se sentir exclu, mal dans sa peau et parfois même absent, hors de son corps. Un soir, après avoir fumé de la drogue avec son camarade de chambre, Armin semble traverser une crise sans précédent, il est inintelligible et armé d’un couteau, s’agenouille devant la porte, avant d’enfoncer la lame. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

L’amour qui lie Marguerite et Fahmy est passionné. Elle a 20 ans, est française et belle. Lui en a 22, est riche, égyptien et influent. Leur idylle commence à l’été où ils flânent de casino en casino avant l’arrivée de l’automne qui semble inexorablement dessiner leur séparation. Marguerite le rejoint pour l’épouser quasi-immédiatement et en une dizaine de mois : la passion va laisser place à la haine. Tout commence avant même le mariage, par la faute du secrétaire particulier de Fahmy. Convaincu que son maître doit respecter certaines traditions, il cherche à hâter le mariage en mentant sur l’état de santé de Fahmy, prétextant une maladie grave, expliquant son envie de se marier très vite. Apprenant la vérité, Marguerite épouse tout de même Fahmy mais l’étau de la peur s’est déjà refermé sur elle. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Retrouvé mort le crâne fendu par une pioche maculée de sang, le père de Rosalie est, pour la justice, victime de parricide. Rosalie et son mari sont inculpés car un différend familial les opposait au père : Rosalie voulait récupérer sa maison et le placer au hospice. Placée dans un cachot miteux (nous sommes en 1861), Rosalie craint pour son enfant à naître puisqu’elle est enceinte. Elle avoue donc son crime car le juge lui a promis de meilleures conditions de détention en cas d’aveux. Elle est condamnée aux travaux forcés bien qu’elle tente d’expliquer qu’elle est innocente. Quelques temps plus tard, c’est grâce aux interrogations d’un horloger à qui on a vendu une montre en or suspecte, que les vrais coupables seront retrouvés. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Gérard est un jeune garagiste d’une trentaine d’années, après un dîner avec des clients il rentre à la nuit tombée. Roulant à bonne allure, il remarque des phares qui semblent se rapprocher vivement et lui donner la chasse. Pris de peur d’être confronté à des voyous qui cherchent à provoquer un accident, Gérard ne se laisse pas faire et adopte une conduite similaire à celle de ses poursuivants pour tenter de leur échapper. Lorsqu’il arrive dans sa cour, il est pourtant rattrapé et deux hommes mal rasés, habillés de cols roulés et armés de mitraillettes sortent du véhicule poursuivant. Lui montrant un insigne de police qu’il ne semble pas voir tellement la peur lui tord le ventre, Gérard grimpe quatre à quatre les escaliers menant à son appartement pour aller se saisir de son fusil de chasse et tire par la fenêtre. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

L'histoire se déroule sur les l’archipel américain d’Hawaï, le commissaire Richard enquête sur une série d’intrusions mystérieuses chez des jeunes femmes pendant la nuit. L’individu les observe dans leur sommeil mais ne leur fait jamais de mal et finit toujours par s’enfuir sans même rien voler. Alors que le commissaire commence à se demander si toutes ces jeunes femmes célibataires n’ont pas fantasmé cet inconnu dans leur chambre à coucher, une nouvelle “victime” de l’homme-chat lui propose son aide. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Venise, XVIIIe siècle. C’est le carnaval, événement majeur et festif de la cité des Doges. Le personnage principal de ce récit que nous nommerons “le prisonnier” est enfermé pour 3 crimes, qu’il faut encore prouver du reste : vol, viol et diffamation. Mécontent de son sort et bien décidé à ne pas croupir derrière les barreaux, il entreprend un stratagème pour s’évader via un trou sous sa paillasse. Le soir prévu de son évasion, le gardien-chef vient le voir pour lui annoncer qu’il change de cellule, retour à la case départ. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Lorsque le pneu de votre vélo est crevé et que vous ne trouvez pas le trou, il suffit de gonfler la chambre à air et de la plonger dans l’eau pour voir d’où les bulles s’échappent… C’est la métaphore employée par Abston, un des patrons du FBI. Pourquoi ? Les russes semblent au courant de l’envoi de matériel militaire en Europe, ce qui signifie qu’il y a une fuite au Pentagone. Il charge Frank Moïk de se charger de cette affaire délicate. C’est alors que démarre la filature d’un suspect beaucoup trop “propre” : Norbert Stratton. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Ce récit met en avant l’incroyable travail d’un magistrat. Harold Israël semble coupable du meurtre de révérend Dahme. Premièrement parce qu’il fournit lui-même des aveux et parce que quantité d’autres éléments à charge l’incriminent. Pourtant, le juge Homer Cummings, cité aujourd’hui aux Etats-Unis comme un cas de référence pour ce qui à trait à la rigueur magistérielle, décide de se plonger en profondeur dans cette affaire afin d’en innocenter le coupable présumé. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Vienne, années 70. Linda appelle un soir sa sœur Erika, personne ne semble décrocher pourtant elle entend à travers le combiné des sanglots et des cris furieux : ceux de son beau-frère. Puis la communication est coupée. Alarmée, elle prévient la police de son inquiétude pour la sécurité de sa sœur, un journaliste présent sur place recueille ses propos et il s’avère que Walter, le mari d’Erika, semble être au minimum, un individu peu fréquentable, au maximum, quelqu’un de dangereux. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Le point commun entre Monsieur Pellenoir et Monsieur Sajardy : C’est Jeanne. Lorsque le cadavre du premier est retrouvé, la scène de crime semble trop organisée, mise en scène et cela ne trompe pas le brigadier Montagnier en charge de cette affaire. Ce n’est pas un suicide. Examinant les lieux, il y trouve la photo d’une femme nue dans un cadre, rien d’alarmant compte-tenu de la banalité, voire de la médiocrité que constitue l’intérieur de cet appartement. Pourtant c’est bien cette femme sur la photo la clé de cette affaire. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.