Le déplacement du pape François en Irak représente un voyage très politique. Car les rares chefs d'états qui se sont aventurés dans ce pays depuis 40 ans l'ont fait en coup de vent, sans le faire savoir à l'avance. Tout le contraire du monarque de l'État de la Cité du Vatican, qui a prévu d'y rester trois jours. Une façon de se faire entendre.
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