Le rappeur Lomepal, visé par une enquête préliminaire pour viol après une plainte déposée en 2020 pour des faits survenus en 2017 à l'étranger, a démenti jeudi en bloc les accusations qui pèsent sur lui, se disant prêt à "répondre à la justice". "Est-ce que j'ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu'il y a eu des choses illégales ? Non. Et je ne le laisserai jamais dire", a-t-il écrit sur son compte Instagram, dénonçant des "mensonges".
"Je n'ai rien à cacher, et aucune raison de me cacher", a poursuivi le rappeur parisien au trois millions d'auditeurs mensuels sur la plateforme musicale Spotify. Dans ce message fleuve, Antoine Valentinelli, de son vrai nom, explique "avoir eu de nombreuses relations" pendant les premières années de sa carrière.
"Des histoires délirantes et inventées de toute pièce"
"Des rencontres de fin de soirée, ou on fait l'amour sans se connaître, des relations d'un soir. Et pour moi comme tout le monde, il peut y avoir des incompréhensions, des perceptions différentes. Il y en a dans la vie comme dans celle de chacun et de chacune", détaille-t-il.
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"Ensuite, il y a des histoires délirantes et inventées de toute pièce qui circulent dans l'industrie musicale. On payerait des femmes, on ferait signer des accords de silence, j'en passe. J'entends ça depuis des mois. Tout cela est absurde et faux. Ça n'a simplement jamais existé, et ça circule, sans fin, et c'est repris sur les réseaux, et sur des sites de presse", assure-t-il. Selon Le Parisien, la plaignante serait une connaissance du rappeur. Les faits se seraient déroulés en 2017 à New York.