En pénétrant dans la bande de Gaza, l'armée israélienne a découvert les méthodes d'enseignements dans les écoles tenues par les terroristes du Hamas. Les enfants de Gaza apprenaient par exemple les mathématiques en comptant le nombre de kamikazes. Dans un petit livre écrit en arabe, dix pages sont consacrées à Dalil Mughrabi, une terroriste qui a fait 38 morts, dont 13 enfants dans un bus en 1978.
"Les Français pensent que cet argent est utile, mais ça a l'effet inverse"
"Elle est glorifiée, comme je cite, une 'héroïne" et comme modèle stimulant pour les filles", explique Arik qui montre une autre image, cette fois-ci dans un livre de sciences censé expliquer la seconde loi de Newton : "on y enseigne les lois du mouvement et de la gravité en utilisant une image d'un Palestinien armé d'un lance-pierres, visant des soldats israéliens".
"Quand on lit ces textes, il y a l'idée que vous devez égorger les ennemis", selon Marcus Sheff, à la tête de l'Institut pour la paix et la tolérance culturelle dans l'Éducation nationale. D'après les calculs de cet institut, la France a elle-même versé plus de 150 millions d'euros depuis 2017 à l'agence de l'ONU dédiée aux réfugiés palestiniens. Ce même organe des Nations Unies censé contrôler l'enseignement à Gaza. "Les Français pensent vraiment que cet argent est utile, mais tristement et tragiquement, ça a l'effet totalement inverse".
Selon un rapport de cet institut, plus de 100 terroristes du 7-Octobre sont passés sur les bancs de ces écoles dans Gaza.