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Emmanuel Macron a parlé avec Donald Trump avant le sommet de jeudi des pays alliés de l'Ukraine

Europe 1 avec AFP - Mis à jour le . 1 min
Réquisitions contre Sansal : Macron souhaite une «issue rapide», en appelle au président algérien
Réquisitions contre Sansal : Macron souhaite une «issue rapide», en appelle au président algérien © Xose Bouzas / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Après une réunion entre Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky, le chef de l'État s'est entretenu avec Donald Trump, a fait savoir l'Élysée. Le sommet de Paris réunit une trentaine de pays de l'Union européenne et/ou de l'Otan prêts à apporter des garanties de sécurité à Kiev en cas d'accord de paix avec la Russie, mais les États-Unis n'y participent pas.

Le président français Emmanuel Macron a parlé avec son homologue américain Donald Trump "en amont" du sommet qui s'est ouvert jeudi matin à Paris des pays alliés de l'Ukraine, a annoncé l'Élysée. Cet échange s'est tenu après la réunion de mercredi soir entre le président français et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, a-t-on précisé de même source. Le sommet de Paris réunit une trentaine de pays de l'Union européenne et/ou de l'Otan prêts à apporter des garanties de sécurité à Kiev en cas d'accord de paix avec la Russie, mais les Etats-Unis n'y participent pas.

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Droits de douane : Macron espère que Trump reviendra sur sa décision

En parallèle, Emmanuel Macron a dit jeudi espérer que Donald Trump puisse "revenir" sur sa décision d'augmenter les droits de douane, au lendemain de l'annonce par le président américain de 25% de droits de douane supplémentaires sur les automobiles fabriquées hors des Etats-Unis.

"J'espère que peut-être (...), après des annonces qui viendront, le président Trump pourra revenir sur cette décision", a affirmé le président français à l'issue d'une réunion à Paris d'une coalition des Etats soutenant l'Ukraine. "Ce n'est pas une bonne idée économique", "pas une bonne idée géopolitique" et "pas une bonne idée en termes de moment", car "il y a une forme de paradoxe à voir les principaux alliés des États-Unis être les premiers taxés", a-t-il ajouté.