On commence avec le deuxième tour de l’élection présidentielle, qui a lieu demain. Une date qui ne tombe pas forcément bien pour tout le monde…
Faire le pont ou voter, il faut choisir, ou pas. Certains ont dégainé la fameuse procuration. Et pour contrer l’abstention forte du premier tour, de très nombreux internautes ont cherché toute la semaine sur Facebook et Twitter des personnes disponibles pour déposer le bulletin de vote à leur place dans l’urne. Résultat, le nombre de procurations a explosé dans tout le pays. Rien qu’à Paris, la mairie a enregistré trois fois plus de demandes qu’au premier tour.
Une présidentielle qui en rappelle une autre, aux Etats-Unis. La prochaine, ce n’est qu’en 2020, mais une candidature pointe déjà le bout de son nez sur la toile…
Son nom : Marck Zuckerberg. Ça vous dit forcément quelque chose, c’est le créateur de Facebook. Aux Etats-Unis et en Angleterre, les rumeurs vont bon train. Et ce qui alimente les spéculations outre-atlantique, c’est surtout le comportement du boss des réseaux sociaux. Depuis plusieurs jours, Marck Zuckerberg va à la rencontre de familles américaines. On le voit poser avec un pompier, nourrir des chevaux et faire des selfies à la pelle. Bien évidemment, il a formellement démenti cette rumeur. Mais c’est sûr, Wendy, on devrait vous en reparler dans les prochains mois…
On part en Chine à présent où la censure est plus que jamais d’actualité sur le net…
À partir du mois prochain, tous les comptes publics WeChat, l’équivalent de Twitter en Chine, auront l’interdiction de publier des informations sans autorisation préalable. Il faudra obtenir une licence auprès du service de l’information en ligne pour pouvoir diffuser les informations via les sites Internet. Ou comment essayer de contrôler tous les contenus publiés sur la toile.