PHOTOS - Ukraine : le quotidien des habitants de Kiev dans l'abri antiatomique d'un hôpital

L’entrée de l’abri antiatomique

L’entrée de l’abri antiatomique est éloignée de l’hôpital mais il y en existe une à l’intérieur de l’établissement.

Nicolas Tonev/Europe 1

Une porte blindée

Porte en acier de 500 kilos qui ferme l’entrée de l'abri.

Nicolas Tonev/Europe 1

Les enfants abrités

A l’intérieur, les enfants, effrayés par les bruits des déflagrations restent quasiment en permanence à l'intérieur de l'abri.

Nicolas Tonev/Europe 1

La salle principale

Jusqu’à 50 personnes dorment dans la salle principale où l’on mange et où l’on fait aussi la cuisine. 10 mètres sous terre dans une gangue de béton armée - rien ne passe, ni le téléphone, ni internet.

Nicolas Tonev/Europe 1

La représentation de l’onde de choc d’une explosion atomique

Dormir dans un abri antiatomique de la guerre froide, c’est dormir avec , sur les murs, la représentation de l’onde de choc d’une explosion atomique et à quelle distance de l’épicentre on peut espérer commencer à survivre et s’organiser.

Nicolas Tonev/Europe 1

Cuisine

Le coin cuisine.

Nicolas Tonev/Europe 1

Pièce d'habitation

Zone réservée aux médecins qui descendent en cas d’alerte.

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Réserve de couronnes funéraires

Juste à côté, les couloirs partent sous l’hôpital. Ici, la première pièce est la réserve de couronnes funéraires.

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L'abri enterré sous l'hôpital

Le début du couloir qui mène à la partie de l’abri enterré sous l’hôpital.

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Couloir vers la morgue

Le couloir qui mène à la morgue - un lieu que l'on ne peut photographié car il est question de secret militaire.

Nicolas Tonev/Europe 1

La morgue

Derrière la première porte à gauche se trouve la morgue.

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La réserve de cercueils

La réserve de cercueils est au plus bas, car les morts sont nombreux avec la guerre.

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Couloirs sous terre

Les couloirs s’enfoncent sous terre sous le territoire de l’hôpital. Beaucoup sont fermés. Sur place les gens parlent du volume d’une petite ville souterraine.

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Pièce de vie

Autre pièce où les personnes n’ont pas voulu être photographiées.

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Porte de sortie

Ecritures sur la porte sortie, en langue ukrainienne.

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Nicolas Tonev , modifié à
Des habitants d’un quartier touché à plusieurs reprises par des bombardements se sont réfugiés dans un gigantesque abri antiatomique des années 1980 construit sous un hôpital. Depuis cet abri capable de résister à tout, ils se retrouvent témoins du travail de l’hôpital et des réalités morbides de la guerre. Récit en photos de notre envoyé spécial à Kiev Nicolas Tonev.