L’entrée de l’abri antiatomique
L’entrée de l’abri antiatomique est éloignée de l’hôpital mais il y en existe une à l’intérieur de l’établissement.
Nicolas Tonev/Europe 1
Une porte blindée
Porte en acier de 500 kilos qui ferme l’entrée de l'abri.
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Les enfants abrités
A l’intérieur, les enfants, effrayés par les bruits des déflagrations restent quasiment en permanence à l'intérieur de l'abri.
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La salle principale
Jusqu’à 50 personnes dorment dans la salle principale où l’on mange et où l’on fait aussi la cuisine. 10 mètres sous terre dans une gangue de béton armée - rien ne passe, ni le téléphone, ni internet.
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La représentation de l’onde de choc d’une explosion atomique
Dormir dans un abri antiatomique de la guerre froide, c’est dormir avec , sur les murs, la représentation de l’onde de choc d’une explosion atomique et à quelle distance de l’épicentre on peut espérer commencer à survivre et s’organiser.
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Cuisine
Le coin cuisine.
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Pièce d'habitation
Zone réservée aux médecins qui descendent en cas d’alerte.
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Réserve de couronnes funéraires
Juste à côté, les couloirs partent sous l’hôpital. Ici, la première pièce est la réserve de couronnes funéraires.
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L'abri enterré sous l'hôpital
Le début du couloir qui mène à la partie de l’abri enterré sous l’hôpital.
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Couloir vers la morgue
Le couloir qui mène à la morgue - un lieu que l'on ne peut photographié car il est question de secret militaire.
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La morgue
Derrière la première porte à gauche se trouve la morgue.
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La réserve de cercueils
La réserve de cercueils est au plus bas, car les morts sont nombreux avec la guerre.
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Couloirs sous terre
Les couloirs s’enfoncent sous terre sous le territoire de l’hôpital. Beaucoup sont fermés. Sur place les gens parlent du volume d’une petite ville souterraine.
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Pièce de vie
Autre pièce où les personnes n’ont pas voulu être photographiées.
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Porte de sortie
Ecritures sur la porte sortie, en langue ukrainienne.
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