Pour la deuxième émission de la seconde saison de Stars à Nu, vendredi soir, sur TF1 (21h), six femmes ont accepté de se dévoiler pour la bonne cause, une semaine après les hommes. Autour de l'animatrice Alessandra Sublet et du metteur en scène Chris Marques, ces six personnalités tenteront de convaincre les téléspectateurs et les téléspectatrices de se faire dépister de manière précoce contre le cancer. Linda Hardy était l'invitée de Philippe Vandel avec Chris Marques dans Culture Médias, vendredi matin, pour raconter le pourquoi de sa participation dans l'émission.
Des messages avec Arthur en 2020
L'année dernière, la Miss France 1992 n'avait pas participé à la première saison, mais elle n'était pas non plus très loin des participantes. "J'étais venue encourager les copines pendant le show. J'ai regardé ensuite l'émission et j'ai trouvé que ça faisait partie des émissions françaises de divertissement qui avaient du sens", estime la comédienne de 47 ans.
" Arthur m'a répondu : 'Si jamais tu envie l'année prochaine, tu seras des nôtres' "
Elle poursuit : "Je vais être très honnête avec vous. À la suite de cette émission, j'ai envoyé un petit message à Arthur, le producteur de l'émission, pour le féliciter de cet engagement. Je lui ai dit : 'Bravo, c'est fantastique. On a besoin de plus d'émissions comme ça à la télévision'. Il m'a répondu : 'Si jamais tu as envie l'année prochaine, tu seras des nôtres'. J'ai dit : 'Si tu souhaites que je sois là, évidemment, tu peux compter sur moi'. C'était un vrai plaisir et ça fait partie de mes engagements."
Une mise à nu peu embarrassante
Cette année, Linda Hardy partagera donc la scène du Lido avec la comédienne Anaïs Grangerac, la danseuse Inès Vandamme, la YouTubeuse Lola Dubini et les Miss France Nathalie Marquay-Pernaut et Maeva Coucke. À la fin du spectacle, les six danseuses se retrouveront seulement vêtues d'une culotte.
"Je ne vais pas dire que j'ai l'habitude de me mettre toute nue", ironise l'ancienne Miss France. "Mais contrairement à certaines de mes camarades, je suis comédienne. On peut avoir un réalisateur qui nous demande de nous déshabiller pour une scène. Et si ça a un sens, c'est quelque chose que l'on fait sans se poser la question. Là, c'est à peu près la même chose : se déshabiller pour la bonne cause, parce que ça a un sens et que l'on raconte quelque chose d'important. Oui, il y a un peu de pudeur, mais ce n'est pas si compliqué que ça", relativise-t-elle.